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lundi 16 mai 2011

Infos dernières minutes: affaire DSK (II)

Le visage grave, mal rasé, imperméable noir, DSK connaît la période la plus sombre de son existence


18h33. 
DSK est maintenu en détention. 

18h31. 
Etonnant ping-pong verbal sur Twitter. François Dufour retranscrit les échanges entre juge et avocats. «Ma seule peur est la fuite», dit la première. «DSK n'aurait pas appelé la sécurité de l'hôtel pour récupérer son téléphone portable», répondent les seconds.

18h26.
 «DSK essaye de parler a la juge son avocat l'en empêche», écrit le journaliste d'Europe1. «Dsk voulait dire qu'il n'a pas fui».

18h21. 
Les arguments des avocats de DSK. Ils assurent qu'il y a des zones d'ombres et que DSK n'a pas essayé de fuir. Leur client est prêt à rester à New York. Ils le présentent comme innoncent et coopértif, selon le journaliste d'Europe 1 sur Twitter.

18h13.
 
Le procureur demande un maintien en détention. Son discours est très ferme, estime que DSK était en train de fuir, selon un journaliste sur Twitter. Les avocats de DSK plaident l'absence d'antécédents judiciaires de leur client, écrit un journaliste sur Twitter. Que va décider la juge ?

18h05. «
DSK devant le juge», écrit le journaliste d'Europe 1, qui précisait quelques instants plus tôt que des photographes avaient pénétré dans la salle.

18h03. 
Live. DSK est «assis sur le banc. Avocats parlent à juge», écrit François Dufour sur Twitter. «Suspension de séance de 5 minutes», selon le correspondant de l'AFP.

17h55. 
Sur place. «DSK discute avec ses avocats», écrit le journaliste d'Europe 1. «Il écoute, le front plissé», précise François Dufour.

17h49. 
Témoignages sur place. «J'ai croisé son regard perdu. DSK est là, s'est assis dans un coin pour ne pas être vu», assure un journaliste sur Twitter. «11 policiers ds la salle. Il attend son tour. DSK debout devant moi. On lui prend 2 photos d'archi près. Nos regards se croisent.», écrit François Dufour sur Twitter.
17h10:  
Le président du MoDem François Bayrou a comparé l'affaire DSK à un mélange de "tragédie grecque et de séries américaines". "C'est terrible. Ces images sont glaçantes" a-t-il ajouté à propos des images du patron du FMI menotté.
 
16h59:
Le patron du FMI n'est pas entendu tout de suite par la juge. Il est ressorti de la salle d'audience par la porte du fond accompagnés des policiers.
 
16h57: 
 DSK est assis sur le banc au côté des autres prévenus. 

16h51: 
 Dominique Strauss-Kahn arrive dans la salle d'audience. Les journalistes présents le disent "visiblement atteint", "fatigué", "défait". 

16h45: 
Le président du groupe UMP à l'Assemblée, Christian Jacob, a affirmé que les images de Dominique Strauss-Kahn menotté étaient "des images que l'on n'a pas l'habitude de voir en France" et a jugé que l'inculpation du patron du FMI est une "affaire de droit commun". 

16h25. 
Cambadélis passe à l'offensive. Le député strauss-kahnien Jean-Christophe Cambadélis, tout en se défendant d'être «un adepte des complots», affirme que la droite «avait promis à Dominique Strauss-Kahn le feu nucléaire dès qu'il ferait ses premiers pas de candidat». «C'est toute la droite qui menace depuis un an dans les déjeuners d'avoir des photos et des dossiers» sur DSK, a précisé ensuite un responsable socialiste. «Dans le dossier, il y a beaucoup de contradictions, à commencer par la fuite (...) Celle-ci n'a pas eu lieu», estime Jean-Christophe Cambadélis, sans plus de précisions. «Nous ne pouvons pas croire à sa culpabilité. Il sera bientôt au milieu de nous (...) Après le temps de la spéculation, de l'émotion et de l'accusation, vient le temps de la défense et de l'amitié», a encore déclaré le premier soutien de DSK.

16h22. 
Heure de check-out. DSK a réglé sa note au «check out» de l'hôtel à 12h28, soit une demi-heure avec l'heure de l'agression présumée avancée par la victime, selon le Monde. Le journal précise par ailleurs que le président du FMI s'est enregistré à l'aéroport à 15h40 et qu'il avait réservé son billet «de longue date».

16h13. 
Discussions entre époux. Selon le Monde, daté de mardi, Anne Sinclair «a confié à des proches avoir eu Dominique Strauss-Kahn, samedi, après que celui-ci eut déjeuné avec sa fille. Elle l'aurait également eu sur le trajet de l'aéroport. D'après l'un des proches, Anne Sinclair aurait alors rapporté une conversation avec son mari, celui-ci évoquant un problème grave, mais sans faire aucune allusion à l'agression de l'hôtel.»
16h02. 
«Un effroyable lynchage planétaire». Le président d'honneur du MRC (Mouvement républicain et citoyen) Jean-Pierre Chevènement dénonce «un effroyable lynchage planétaire» contre Dominique Strauss-Kahn, affirmant que son inculpation repose sur «un unique témoignage forcément fragile». «Le coeur ne peut que se serrer devant ses images humiliantes et poignantes qu'on donne de lui», déplore l'ancien ministre sur son blog au sujet de DSK. «Et si c'était une monstrueuse injustice?», s'interroge-t-il.

15h56. 
Visite guidée des chambres. Pour découvrir l'intérieur des chambres d'hôtel du Sofitel, rendez-vous ici.

15h47. 
Le FMI et les Européens. L'Europe doit «continuer» à diriger le Fonds monétaire international et de préférence avec «quelqu'un qui assure un mandat complet», estime le ministre des Finances Belge Didier Reynders, alors que le débat sur la succession de Dominique Strauss Kahn est déjà lancé.

15h18.
Un rapport de police accablant, selon un site français. Atlantico, un site d'information marquée à droite sur l'échiquier politique, et qui ne s'en cache pas - l'un de ses actionnaires étant Arnaud Dassier, un conseiller web de - révèlent plusieurs rapports de police et diplomatiques, transmis dimanche et lundi à Paris par le consulat français à New York. Ils seraient accablants pour le directeur général du FMI selon le site. Un rapport diplomatique ferait état «des griffures ont été constatées sur le torse de l’auteur présumé. Ce dernier a donné son accord pour que des examens complémentaires soient réalisés», précisant que des «des traces ADN» ont été découvertes, dont «les résultats des prélèvements ne sont pas attendus avant un délai minimum de cinq jours».

14h55. 
Aubry bouleversée. , la première secrétaire du Parti socialiste se dit «bouleversée» par les images de DSK menotté.

14h42. 
Rebsamen ne croit pas au complot. Le sénateur-maire PS de Dijon François Rebsamen déclare qu'il ne croit pas aux théories du complot parfois évoquées dans l'affaire Strauss-Kahn et appelle «à une grande prudence» dans un entretien à publicsenat.fr.
13h57.
Dominique Strauss-Kahn a bien signalé samedi son départ à la réception de l'hôtel Sofitel de New York, indique le groupe hôtelier Accor, propriétaire des Sofitel. Accor refuse de préciser si le patron du FMI est un habitué de cet hôtel, ni pour combien de temps son séjour était prévu. La femme de chambre est entrée dans la suite de M. Strauss-Kahn «pour faire le ménage», indique par ailleurs la direction, en précisant que le personnel n'a pas d'autre moyen que de sonner pour savoir si quelqu'un se trouve à l'intérieur. La configuration de la suite 2806, dans laquelle a séjourné DSK, «n'est pas très pratique» et peut expliquer «qu'on n'entende pas du tout une employée entrer dans la chambre», déclare pour sa part Paul Dubrule, cofondateur d'Accor.«La salle de bain se trouve tout au fond de la suite, après un coude», explique M. Dubrule, qui a utilisé cette suite à de nombreuses reprises.

13h20. 
La Commission européenne affirme que l'inculpation du directeur général du FMI Dominique Strauss-Kahn n'aurait «pas d'impact» sur les programmes d'aide en faveur des pays de la zone euro, notamment la Grèce, et jugé prématuré d'engager un débat sur sa succession.

13h06. 
L'ex-ministre de la Justice (PS) juge les images de Dominique Strauss-Kahn menotté d'«une brutalité d'une violence, d'une cruauté inouies» et elle s'est dite «heureuse» que la France n'ait «pas le même système judiciaire que les Etats-Unis. Elle a souligné qu'en France, «depuis la loi du 15 juin 2000» sur la présomption d'innocence, votée lorsqu'elle était Garde des Sceaux, «publier des photos de personnes menottées» était «interdit par la loi».

12h39. 
L'Allemagne aimerait voir un Européen succéder à DSK à la tête du FMI. Il y aurait «de bonnes raisons» pour que le successeur éventuel de Dominique Strauss-Kahn à la tête du FMI soit un autre Européen, a indiqué lundi le porte-parole du gouvernement allemand. «L'Europe n'est pas abonnée au poste de directeur général» . Mais «dans la situation actuelle» de crise de la dette en zone euro, une situation qui accapare beaucoup le FMI, «il y aurait quand même aux yeux du gouvernement de bonnes raisons de trouver un bon candidat européen», a-t-il poursuivi.


12h30.  
Selon RMC.fr, les avocats de DSK évoquent un alibi pouvant disculper leur client. Selon eux, DSK a quitté son hôtel à midi, en réglant la note et en rendant les clés, soit une heure avant la supposée agression. Il aurait ensuite déjeuné avec sa fille dans un restaurant new-yorkais avant de prendre un taxi pour l'aéroport JFK.

12h12. 
 Malgré les appels à la prudence à l'UMP sur de quelconques commentaires concernant l'affaire DSK, le député UMP de Paris, Bernard Debré, se lâche. Selon l'Express.fr, ce dernier qui s'est déjà répandu en critiques sur son blog dimanche, déclare ce lundi que d'autres affaires d'agressions mettant encause DSK se sont déjà produites dans cet hôtel. «Les employés étaient sur le point de se révolter. La direction était au courant mais jusque là n'osait rien dire.», révèle-t-il.
11h50, 
Les médias américains indiquent que la femme de ménage âgée de 32 ans, victime présumée de DSK, est noire et maman célibataire d'une petite fille.


11h45. 
La direction du PS se réunira mardi midi, sous la direction de pour discuter des rebondissements liés à l'affaire DSK.

11h08. 
 Tristanne Banon dont la mésaventure avec DSK vient de ressurgir envisage de porter plainte d'après son avocat, interrogé par l'AFP. «On envisage de déposer plainte. Je travaille avec elle», a déclaré Me David Koubbi, à propos de sa cliente.
Répondez à notre question en ligne sur l'avenir politique de DSK.

10h55.
 
Après l'inculpation aux Etats-Unis du patron du FMI, Dominique Strauss Kahn, le gouvernement grec perd un allié de poids à un moment crucial face à Berlin, la City et Wall Street qui poussent Athènes à procéder à une restructuration dure de la dette du pays.

10h53.
 
Voix de la France à l'étranger, estime que l'affaire DSK «est très certainement un évènement de très grande portée». Intervenant depuis Bordeaux, le ministre des Affaires Etrangères, s'inquiète des conséquences «pour Dominique Strauss-Kahn lui-même et sa famille, ensuite pour le parti socialiste et également pour l'image de la France au Fonds monétaire international». «Nous sommes dans une période d'instruction, c'est à la justice américaine d'établir les faits et de faire émerger la vérité» a ajouté M. Juppé. «Mais ne préjugeons pas du résultat de l'enquête», a-t-il souligné.
 
10h20. 
DSK risque gros, selon un professeur de droit international interrogé sur France Info, les peines étant cumulables dans le système de droit américain. Une peine d'une vingtaine d'années de prison, même si elle est peu probable est envisageable. Ce lundi après-midi, le juge new-yorkais, devant qui DSK va comparaître, devra se prononcer sur les suites de la procédure : il dira si Dominique Strauss Kahn sera maintenu en détention ou remis en liberté sous caution en conservant ou non une liberté de mouvement.

10h15.  
, le maire de Paris, en préambule au conseil de Paris a indiqué qu'il s'exprimerait sur l'affair DSK en marge de la séance, vers 11h30. (Suivez le conseil de Paris en direct sur Twitter)

10h06.
, ex-adjointe du maire de Paris et figure de la gauche radicale, appelle à avoir «une pensée» pour la femme de chambre new-yorkaise au coeur de l'affaire DSK, qui doit bénéficier de la «présomption de victime», tout comme le patron du FMI de «la présomption d'innocence».«Tout le monde appelle à la décence. Mais on ne peut pas exclure l'hypothèse que la femme de chambre ait été agressée. La décence, c'est aussi d'avoir une pensée pour elle. En 2006, Clémentine Autain avait révélé avoir été violée à l'âge de 22 ans quand elle était étudiante.

9h20.  
Les journaux reviennent sur les penchants de DSK pour les femmes. C'est le cas de Libération qui relate un déjeuner se tenant le 28 avril dernier à Paris. DSK évoque trois problèmes qu'on pourrait lui reprocher pendant la campagne. Il cite le fric et sa judéité, mais en premier il parle des femmes. Et se met à imaginer un traquenard, qui prend tout son relief aujourd'hui, évoquant «une femme (qu'il aurait) violée dans un parking et à qui on promettrait 500 000 ou un million d'euros pour inventer une telle histoire...»

9h05. 
La secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts demande «la justice» pour Dominique Strauss-Kahn et la jeune femme qui l'accuse d'agression sexuelle. «C'est une situation brutale pour tous», ajoute-t-elle sur BMFTV-RMC.

8h57.
L'ancienne juge Eva Joly, candidate à la primaire d'Europe Ecologie-Les Verts pour 2012, souligne sur France Info «la violence» des images montrant DSK menotté. «C'est sûr que la justice américaine est beaucoup plus violente. C'est un système accusatoire où les procureurs réunissent les éléments à charge alors qu'en France, on fait plus attention : on réunit les éléments à charge et à décharge (...) Ils ne connaissent pas les circonstances atténuantes comme nous et donc si vous choisissez de plaider non coupable et que vous êtes condamné, vous prenez le maximum de la peine». Selon elle, le patron du FMI, encourt une peine «entre 20 et 26 ans» alors qu'en France «c'est 15 ans, le maximum encouru».«C'est un drame, c'est un cauchemar, et j'espère que nous allons nous réveiller de ce cauchemar».

8h50.
A l'hôtel Sofitel de Times Square à New York, théâtre des accusations d'une femme de ménage contre Dominique Strauss-Kahn, «des consignes très claires et très strictes ont été passées», d'après Jean-Marc Ducos envoyé spécial du «Parisien»-«Aujourd'hui en France». Les employés ont pour consigne de ne répondre à aucune sollicitation, aidés en cela par un service de sécurité très présent.

8h45.
L'envoyé spécial du «Parisien»-«Aujourd'hui en France» à New York indique que l'avocat français Jean Veil et Ramzi Khiroun, l'ami à la Porsche, sont en route pour la ville américaine de la côte ouest.

8h40.
  François Puponi, proche de DSK et député-maire de Sarcelles (Val-d'Oise) déclare sur France Info : «Dominique Strauss Kahn n'avait aucune raison de s'enfuir.»

8h30.
Le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, indique lundi sur Europe 1 qu'il  demandé à ses «amis de la direction de l'UMP à faire oeuvre de beaucoup de mesure, voire de silence» après l'inculpation à New York de Dominique Strauss-Kahn. «J'ai été très impressionné par l'annonce de cette nouvelle, ainsi que par les images que j'ai vues ce matin» de M. Strauss-Kahn menotté. «J'ai également eu un échange avec le président de la République, je l'ai informé de la décision que j'avais prise d'inviter les membres de l'UMP à la plus grande retenue». Interrogé sur le fait que lui ait donné raison, M. Copé a répondu: «oui, bien sûr». «Il y a un principe de présomption d'innocence qui doit être respecté, surtout pour une affaire aussi grave».

7h58. 
La ministre de l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet estime sur Canal+ que les faits reprochés à Dominique Strauss-Kahn, inculpé pour tentative de viol, sont «très graves» et que «en plus de la victime présumée, la femme de chambre, il y a une victime avérée, c'est la France». «Je fais confiance à la justice américaine (...) c'est tellement français de voir des complots partout, c'est quelque chose je crois qui est dans notre culture», a déclaré la ministre.

7h55.
Questionné sur RTL, sur la probabilité de la candidature de DSK à la présidentielle, le député PS, Manuel Valls, qui indique avoir rencontré DSK à Paris fin avril lâche : «C'était très clair. Cela ne fait aucun doute».

7h50. 
Manuel Valls, député-maire d'Evry (Essonne), se dit sonné sur RTL, abasourdi par l'affaire. «Cela fait trente ans que je fais de la politique, je n'ai jamais vu cela, ni ressenti cela», avoue Manuel Valls en commentant l'image du patron du FMI sortant menotté du commissariat de Harlem, image «d'une cruauté insoutenable». «J'avais les larmes aux yeux», avoue le député socialiste. Les accusations sont terribles souligne Manuel Valls. Mais Dominique Strauss-Kahn «nie et il va se battre».

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