23h45.
La victime présumée a formellement identifié Dominique Strauss-Kahn au commissariat, selon la police
23h30.
23h30.
Une personne a quitté le commissariat dans un van, cachée sous un drap blanc, vers 16h45, heure locale (22h45 en France). Il pourrait s'agir de l'employée de l'hôtel, Ophélia une jeune femme de 32 ans d'origine porto ricaine, qui était entendue auparavant par les enquêteurs. Un policier avait auparavant demandé aux journalistes de ne pas photographier « la victime ».
22h30.
22h30.
Un peu plus tôt dans la soirée, le directeur du Sofitel avait envoyé un courriel à l'AFP, indiquant : « Nous sommes à la disposition des autorités de police locales dans le cadre de l'enquête engagée contre Dominique Strauss-Kahn. Les contraintes imposées par l'enquête judiciaire ne nous autorisent pas à procéder au moindre commentaire concernant cette affaire », a Jorge Tito. « Cependant, nous tenons à préciser que notre employée travaille au Sofitel New York depuis trois ans et donne entière satisfaction tant en ce qui concerne la qualité de son travail que son comportement », a-t-il ajouté.
21h38.
La femme de chambre de 32 ans de l'hôtel Sofitel de New York, victime présumée d'une agression sexuelle par Dominique Strauss-Kahn, «va bientôt arriver» au commissariat du quartier de Harlem où se trouvait DSK a annoncé la police à la presse. La police a également ajouté que M. Strauss-Kahn passerait devant les photographes à sa sortie de garde à vue. Il doit ensuite comparaître devant un juge dans un tribunal du sud de Manhattan.
20h45.
20h45.
Interrogé sur l'hypothèse d'un « complot » ou celle d'un « piège », Pierre Moscovici, un proche de DSK, répond, dimanche soir sur TF1: « J'ai parlé de retenue et de décence, ce n'est pas pour moi même me livrer à des conjectures ou des spéculations. Je ne suis pas dans une théorie complotiste ». « Vérifions les choses, établissons ce qui est la réalité des faits ou ce qui est de la provocation », affirme t-il, expliquant n'avoir « jamais senti chez lui la violence. Je ne l'imagine pas forcer les choses ». Questionné sur son éventuelle candidature au cas où DSK ne serait pas présents aux primaires, M. Moscovici a répondu: « Je peux vous assurer que ma pensée aujourd'hui est très loin de ça.»
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