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mardi 27 décembre 2011

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samedi 24 décembre 2011

Loana amincie et au top de sa forme marque son retour à la TV

C’est une Loana au top de sa forme et très amaigrie qui est apparue dans une vidéo de présentation de l’émission de divertissement spécial Noël, « La Star de l’année », sur E ! Présenté par Matthieu Delormeau, ce programme diffusé le 23 décembre prochain dès 20h45.
C’est l’ex star de Loft Story qui est la marraine de cette émission. La jeune femme assure aller mieux après un été chaotique marqué par une dépression et une prise d’une vingtaine de kilos.
« Tout va bien ! Cette année, je me suis concentrée sur mon parcours physique et revenir un peu en forme », a expliqué Loana, qui a précisé que grâce à une émission belge, pour laquelle, il a été entourée par des spécialistes de la remise en forme, elle a réussi à retrouver sa silhouette.
Elle n’en est pas encore satisfaite. Après avoir perdu une douzaine de kilos, Loana espère en perdre encore 6.

Autre nouvelle importante: 

M6 proposera une émission sur les années 2000 le 28 décembre prochain. Loana accompagnée des L5 et des  Whatfor viendront sur le plateau pour interpréter les tubes qui ont marqué ces années là.
La chaîne diffusera un prime spécial intitulé Les années 2000 : Le retour. Présentée par Sandrina Corman et Dave, l'émission nous fera revivre en images les tubes de ces années là. A cette occasion, de nombreux invités ont accepté de venir sur le plateau pour interpréter leurs chansons phares. Ainsi, après plusieurs années d'absence, on retrouvera les groupes révélés par l'émission Popstars : L5 (qui ne sont plus que 4 puisque Lydy (Louisy Joseph aujourd'hui) ne veut plus être liée au groupe), et Whatfor.
Ce sont donc Alexandra, Coralie, Marjorie et Claire qui viendront interpréter la chanson Toutes les femmes de ta vie, tube en 2001. De leurs côtés, les Whatfor ne seront que deux. Seuls Mounia et Nicolas seront présents pour chanter le titre Plus Haut. Parmi les invités, il y aura aussi Loana, qui s'était lancée dans la chanson après sa sortie du loft, et qui sera sur le plateau pour interpréter son premier single, Comme je t'aime. Ce ne seront pas les seules personnalités présentes puisque Amel Bent, Nadiya ou encore Lorie seront de la partie.

Cliquez ci-dessous pour voir la bande-annonce des Années 2000 : Le retour :

jeudi 22 décembre 2011

Vidéo de la semaine: un député anglais participe à une soirée Nazie

Aidan Burley, un jeune député britannique conservateur de 32 ans, a été filmé lors d'une soirée le 3 décembre dans un restaurant de Val Thorens, en Savoie, en compagnie de convives qui ont entonné des chants hitlériens alors que l'un d'eux était déguisé en officier SS. Une affaire dénoncée en France par SOS Racisme et qui suscite en Grande-Bretagne une vaste polémique.

Le député apparaît attablé avec un homme portant un costume nazi, montre The Daily Mail :

Dans une autre vidéo postée sur You Tube et qui depuis a été retirée, on aperçoit les participants à cet enterrement de vie de garçon de mauvais goût chanter: "Mein Fuhrer! Mein Fuhrer ! Mein Fuhrer !, Himmler ! Himmler ! Himmler ! Eichmann ! Eichmann ! Eichmann !", puis l'un d'eux "porter un toast au IIIe Reich", a affirmé Hamdy Boussouiba, directeur de SOS Racisme Haute-Savoie.
"Une enquête préliminaire" a été ouverte mercredi, selon le procureur d'Albertville, Patrick Quincy. L'"apologie de crime de guerre ou contre l'humanité" est passible de cinq ans de prison et 45.000 euros d'amende, et celui de "port d'uniforme et d'insigne d'une organisation criminelle contre l'humanité" de 1.500 euros. 

On remarque alors que la société actuelle reste marquée, sans doute à jamais, par cette lourde époque que fût la montée du nazisme. En effet, chaque dérapage naziste dont celui de John Galianno fait scandale et reste intolérable pour l'opinion publique et internationale profondément choquée.

Loi sur la négation des génocidé: une "trahison de l'Histoire" selon le premier ministre Turc

Les députés français ont provoqué un incident diplomatique majeur avec la Turquie en votant jeudi une proposition de loi visant à pénaliser la négation des génocides, notamment le génocide arménien.
Ankara, qui ne reconnaît pas que les massacres d'Arméniens en 1915 relèvent d'un génocide, a réagi immédiatement en qualifiant le texte adopté à l'Assemblée nationale d'inacceptable et en rappelant son ambassadeur en poste à Paris.
Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a estimé que ce vote avait ouvert des plaies qui seraient difficiles à refermer.
Pour le chef du gouvernement turc, qui a protesté à de multiples reprises avant le vote, le texte adopté à Paris relève d'"une politique fondée sur le racisme, la discrimination et la xénophobie".
La Turquie, a-t-il ajouté, annule toutes les rencontres politiques, économiques et militaires prévues avec la France. Elle annule également l'autorisation qui était faite aux avions de chasse et aux bâtiments de guerre de l'armée française d'atterrir ou d'accoster en Turquie.
Paris a déploré le coup de colère du gouvernement turc et a rappelé que la France considérait la Turquie comme un partenaire important. "Je regrette cette réaction", a dit le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, sur i>Télé. "J'en appelle au bon sens et à la mesure."
Dans une lettre adressée la semaine dernière à Nicolas Sarkozy, le Premier ministre turc avait prévenu des graves conséquences d'une telle législation sur les relations entre les deux pays, déjà compliquées par la candidature turque d'adhésion à l'Union européenne à laquelle Paris n'est pas favorable.


UN AN DE PRISON


Le texte, déposé par la députée UMP Valérie Boyer, a été validé par les députés français lors d'un vote à main levée. Les quatre groupes de l'Assemblée nationale avaient appelé à voter pour mais des députés de la majorité comme de l'opposition ont voté contre ou se sont abstenus.
Le texte initial visait à sanctionner la seule contestation du génocide arménien mais il a été modifié le 7 décembre pour s'étendre à "la contestation de l'existence des génocides reconnus par la loi".
Il prévoit de punir la négation d'un génocide d'un an de prison, d'une amende de 45.000 euros ou des deux.
L'examen s'est déroulé dans un climat d'émotion. Un important dispositif de sécurité a été mis en place à l'extérieur et à l'intérieur du Palais-Bourbon, aux abords duquel quelque 3.000 personnes ont manifesté dans la matinée, selon l'estimation de la police.
"Je ne comprends pas pourquoi la France censurerait ma liberté d'expression", a dit à Reuters Yildiz Hamza, un Français d'origine turque qui préside une association de familles turques. Juger de la vérité historique, "c'est le travail des historiens, pas des politiciens", a souligné pour sa part Aytem Doguant, une Française d'origine turque.
A quelques mois de l'élection présidentielle en France, "la majorité veut récupérer le vote des Arméniens juste avant les élections", a-t-elle ajouté.


ENJEU ÉLECTORAL


La diaspora arménienne en France, forte de 500.000 personnes, est à nouveau un enjeu électoral à l'approche des élections présidentielle et législatives du printemps 2012.
De nombreux représentants des organisations arméniennes ou turques étaient présents dans le tribunes du public de l'Assemblée, où les médias turcs et arméniens étaient fortement représentés.
Valérie Boyer a jugé que le texte n'était "absolument pas dirigé contre la Turquie" et l'UMP Patrick Devedjian, ancien ministre d'origine arménienne, l'a qualifié de "texte de dignité".
L'Arménie, soutenue par de nombreux historiens et parlements mondiaux, estime à 1,5 million le nombre de victimes des massacres de 1915, qu'elle considère comme le fruit d'une politique délibérée de l'Empire Ottoman dans ce qui est aujourd'hui l'est de la Turquie.
Ankara affirme de son côté qu'il ne s'agissait pas d'un génocide et que de nombreux Turcs musulmans et Kurdes ont également été tués lors de l'invasion des troupes russes en Anatolie orientale, parfois avec l'aide de milices arméniennes.
Tandis qu'Ankara donnait de la voix, les autorités arméniennes ont salué chaleureusement le vote des députés français.
"Par l'adoption à l'Assemblée nationale de cette proposition de loi criminalisant la négation des génocides, la France a de nouveau confirmé sa haute mission de berceau des droits de l'homme et démontré une fois plus son engagement en faveur des valeurs humaines universelles", dit le ministre arménien des Affaires étrangères, Edward Nalbandian, dans un communiqué.
La proposition de loi pourrait être examinée début 2012 par le Sénat. Valérie Boyer a souhaité que le texte soit inscrit "très vite" à l'agenda de la haute assemblée afin, a-t-elle dit, "d'avoir une loi effective à la fin de cette législature".

Coup d'oeil sur la littérature Espagnole !

J'écris aujourd'hui pour les esprits curieux et avides de culture littéraire nationale, déjà très heureux notamment de lire l'interview exclusive de Marc Levy, auteur Français mondialement reconnu, pour Deb'Actualités  mais également de culture internationale.

En effet, nous partons maintenant à la rencontre de Pablo Soriano Clemente un jeune étudiant à l'Université Polytechnique de Valence en Espagne qui consacre une partie de son temps dans l'élaboration de son blog.

Un blog intitulé Mesandome las Barbas (se frottant la barbe) original et passionné portant sur la littérature. Il apparaît comme un lieu d'échanges, de partage d'expériences, de ressentis et diffuseur de passion ! Divisés en plusieurs rubriques, Pablo alias El Barbus (le barbus) y évoque son cheminement personnel tel un journal intime il se questionne et nous interpelle sur ce que signifie être écrivain. Est ce un talent inné ou est ce quelque chose qui se travaille, se façonne ? Une autre rubrique toute aussi intéressante est consacrée aux opinions et ressentis bons ou mauvais de ce jeune talent sur les livres qu'il lit. On y trouve notamment la critique de La Chute des Géants de Ken Follet.

El Barbus donne également de précieux conseils aux talents cachés qui souhaitent s'exprimer face au monde entier. Comment écrire ? Où ? Pourquoi ? Comment protéger ces écrits ? Mais il va également à la rencontre des artistes de demain, d'écrivains et passionnés de littérature reconnus dans l'univers virtuel en les interviewant sur leurs motivations et la conception de leur projet.  Enfin, pour ceux qui souhaitent faire un petit détour à Valence Pablo liste quelques événements littéraires à ne pas rater !

Mais je ne peux vous dire tout, préférant vous laisser vaguer de surprises en surprises je vous conseille vivement, à vous, passionnés par la langue espagnole ainsi que la littérature d'aller découvrir cet univers culturel, philosophique et si passionnant !!!






Roman Polanski adapte Yasmina Reza, et c'est un "Carnage"

Tout commence par un acte de violence, auquel on assiste de loin, sans rien y comprendre : dans un parc un groupe d’enfants se dispute, puis l’un d’eux en frappe un autre au visage, d’un coup de bâton. Cut. On se retrouve dans un appartement où les parents des deux enfants incriminés sont en pourparlers. Au lieu de s’en remettre au dieu procédurier et coûteux des assurances, ils rédigent ensemble une sorte de procès-verbal de l’incident auquel ils n’ont pas assisté, en guise de déclaration de paix.

L’ordre naturel semble respecté : les enfants cognent, les parents discutent. Mais, très vite, la doucereuse négociation tourne au vinaigre. L’amiable vire à la franche inimitié, avant de faire éclater la ligne de front, et de révéler les lézardes des couples en présence. La pièce de Yasmina Reza qu’adapte Roman Polanski évoquait un dieu du carnage, dieu moins transcendant qu’intérieur à ces familles faussement équilibrées. Ici, le dieu a disparu, reste la promesse du carnage. Le film déroule son implacable démonstration : les bourgeois policés restent des brutes en puissance, vindicatives et infantiles, là où leurs enfants se contentaient d’être brutalement enfantins.

Le film est ainsi construit en sandwich : entre deux images enfantines et muettes, une épaisse tranche de bla-bla d’adultes. Le contraste éclaire un paradoxe : les enfants se bagarrent, oui, mais innocemment. Les parents parlementent, d’accord, mais méchamment. Les enfants se taisent (étymologiquement, l’infansest « celui qui ne parle pas »), les adultes bavardent. Au nom de leur lucidité factice, les grands font naître un conflit pire que la dispute de cour de récré, vite oubliée. D’un côté, une violence spontanée sans arrière-pensées ; de l’autre, une violence résultant du désir de civilisation capable d’ébranler définitivement.

« Tout ça pour ça »

L’énergie du film repose sur ces deux couples pris au piège d’un huis clos, selon le principe éprouvé de la Cocotte-Minute, avec alcool désinhibant et accélérateur des réactions habituelles. Inversion des solidarités attendues, dévoilement des non-dits et moments de vérité conquis contre la paix des ménages : le film marche sur les traces de Qui a peur de Virginia Woolf ? (avec Richard Burton et Elizabeth Taylor) – la cruauté en moins.

Ça commence, certes, comme un film de Polanski, mais pour redevenir bien vite une pièce de Yasmina Reza. Tennessee Williams, en inoffensif. Polanski rézaïfié. On peut, au choix, être déçu par le pétard mouillé et la promesse non tenue : quand Polanski annonce un carnage, on s’attend davantage au flippant gothique de
Rosemary’s Baby ou à la froide sauvagerie du Ghost Writer, qu’à la drôlerie de salon, à la fois irrésistible et convenue de Yasmina Reza. Ou bien on peut être sensible à l’ironie toujours présente de Polanski, qui a l’air de dire, comme un Shakespeare en récréation : « tout ça pour ça », regardez ces marionnettes qui s’agitent pour éviter un conflit qu’elles font tout pour exacerber.

Celui qui cherche à assigner à la violence une origine méconnaît qu’il n’y a d’autre origine à celle-là que la tentation de lui en trouver une, soulignait l’anthropologue René Girard. C’est le fameux
« ce n’est pas moi, c’est lui » qui fait naître l’animosité véritable. Illustrant ce principe déjà connu des Grecs, qui appelaient ça le kudos,le film fait circuler la violence comme une énergie n’appartenant à personne en propre, mais résultant des situations. Ce ne sont pas les êtres qui sont violents, la violence est une divinité invisible, inassignable, une électricité qui a besoin de deux pôles pour jaillir.

Au final, une très bonne comédie qui aurait pu faire une excellente tragédie. Pas vraiment un carnage donc, plutôt sa possibilité toujours présente sous ce qu’on a coutume d’appeler le vernis de la civilisation. Polanski jouit et se réjouit de sa liberté retrouvée. Les génies aussi ont le droit de se détendre. Un bon film d’intérieur donc, confortable comme des pantoufles, au coin d’un feu qu’on est heureux de retrouver. Polanski, welcome home.
 
 
« Carnage », de Roman Polanski. Sortie le 7 décembre. 

lundi 14 novembre 2011

DSK "malade" au bord du divorce

Dominique Strauss-Kahn à la sortie d'un restaurant parisien, le 11 novembre

Dominique Strauss-Kahn est un homme "brisé" qui admet désormais qu'il doit se faire "soigner". Anne Sinclair, pour sa part, préparerait un livre et penserait au divorce. Entre Nafissatou Diallo et l'affaire du Carlton de Lille, l'ex-patron du FMI est plus isolé et désespéré que jamais.
Dominique Strauss-Kahn à la sortie d'un restaurant parisien, le 11 novembre SIPA
Dominique Strauss-Kahn n'est plus que « l'ombre de lui-même », c'est un homme « brisé » qui « se ronge les ongles au sang, dévore jusqu'à la peau de ses doigts, et passe ses journées à ne rien faire, incapable de se concentrer sur un livre, refusant d'ouvrir la télé ou de lire les journaux... Seules les équations de maths le calment, mais son emploi du temps est vide ». Et de poursuivre : « Lui qui mettait deux jours avant de répondre à un SMS, répond maintenant dans la minute et il n'est plus en retard au restaurant (…) Un ressort s'est cassé. Il reste parfois de longues minutes dans le vague. »
Dans Le Parisien de ce lundi, un autre proche, toujours anonyme, explique que DSK est « fatigué par tout ce qui se passe. Cela se ressent à sa façon de parler, de s'habiller, de marcher et même de respirer ». Physiquement, d'ailleurs, « il perd du poids, en reprend puis en reperd : rien n'est stable. »

Dominique Strauss-Kahn veut se faire « soigner »

Ces déclarations de proches de l'ex-patron du FMI au JDD résonnent dans Le Parisien ce lundi matin, alors que les révélations sur l'affaire du Carlton de Lille s'étalent chaque jour ou presque dans la presse. Jeudi en effet, Le Point et Libération ont révélé le contenu de SMS retrouvés dans les téléphones portables de personnes mises en cause dans l'affaire dite du Carlton de Lille – notammant dans celui de Fabrice Paszkowski, militant socialiste écroué depuis fin octobre, soupçonné d'avoir fourni des prostituées à DSK. Vendredi, dans un communiqué, DSK a dénoncé, via un communiqué de ses avocats, « un lynchage médiatique ».
Car DSK le sait, les révélations de l'affaire du Carlton ne joueront pas en sa faveur lors du procès civil que les défenseurs de Nafissatou Diallo font tout pour organiser aux Etats-Unis. Selon le Journal du Dimanche qui cite encore un des proches de DSK, « pour la première fois ces derniers jours, il ma dit qu'il fallait qu'il se fasse soigner. Il a admis qu'il était malade ».

Anne Sinclair proche du divorce ?

Cela suffira-t-il à sauver son couple ? Rien n'est moins sûr. Car si elle le soutient depuis le début de l'affaire du Sofitel de New York, Anne Sinclair, qui a appris que son mari depuis 20 ans recevait des prostituées dans leur maison de Washington lorsqu'elle s'absentait, n'aurait plus peur de prononcer le mot « divorce ». Selon un amie du couple, citée par Le Parisien, l'ancienne journaliste « a pris un énorme coup sur la tête en découvrant l'ampleur du mensonge. Mais elle ne veut pas le lâcher maintenant, alors qu'il un homme seul et désespéré. Il y a un lien entre eux qui est difficilement définissable. Il perdure malgré tout, du moins pour l'instant. » Une chose est sûre, si l'affaire Nafissatou Diallo devait se terminer par un procès au civil, Anne Sinclair n'aurait pas envie de « voir toute sa fortune partir en fumée. Si elle doit se résoudre à larguer les amarres pour se protéger, elle le fera sans doute. Mais on n'en est pas encore là ». Pour commencer, elle aurait récemment clôturer les comptes communs du couple.

Les trois humanitaires libérés


Ils étaient retenus par Al-Qaïda depuis plus de cinq mois : ces trois humanitaires français, qui travaillent pour l'ONG Triangle Génération Humanitaire, ont été libérés via le sultanat d'Oman qui aurait payé la rançon. Ils sont en route pour Paris.

Le soulagement, évidemment. Chez Triangle Génération Humanitaire, une ONG basée à Lyon, on respire. Leurs trois travailleurs humanitaires, enlevés le 28 mai dernier, sont désormais libres. Et en bonne santé, selon un chef tribal qui a mené la médiation auprès d'Al-Qaïda.
Officiellement, on n'en saura pas beaucoup plus. Le Quai d'Orsay ne fait aucun commentaire. La présidence française se borne à "remercier chaleureusement le sultan d'Oman et les autorités omanaises pour leur
aide déterminante, ainsi que toutes les personnes ayant contribué à cet heureux dénouement".
Un peu gênées aux entournures, les autorités ? Car il semble bien qu'une rançon ait été versée, par le sultanat d'Oman. C'est ce qui s'était déjà passé fin septembre, lors de la libération de deux randonneurs américains détenus en Iran, accusés d'espionnage.
Des sources tribales avaient expliqué, fin juillet, que pour la libération des trois humanitaires français, Al-Qaïda réclamait 12 millions de dollars.  "Plusieurs" millions auraient été versés.  "Un riche homme d'affaires yéménite, Ahmed Ben Férid al-Souraimeh, qui vit en exil dans le sultanat d'Oman, a joué un rôle déterminant dans la libération des otages", explique-t-on.

samedi 12 novembre 2011

Une mère poignarde son fils à Plougastel.

Un terrible drame s'est déroulé, hier, dans un pavillon d'un lotissement de Plougastel. Prise, semble-t-il, d'un coup de folie, une femme, âgée de 36 ans, est soupçonnée d'avoir tué le plus jeune de ses trois fils à coups de couteau et grièvement blessé le cadet.


Dans cette petite cité pavillonnaire, construite en plein bourg il y a huit ans, les riverains étaient, hier matin, sous le choc. À quelques pas de chez eux, une mère de famille aurait poignardé à mort son fils âgé de 7 ans. Son frère cadet a, lui, reçu sept coups de couteau à l'abdomen. Il a été transporté à l'hôpital de la Cavale Blanche, à Brest, où il est resté plusieurs heures au bloc opératoire. Son état était, hier soir encore, jugé critique par les médecins. Ce drame, d'une rare violence, s'est déroulé au rez-de-chaussée de la maison familiale.

Coup de folie


Selon les premiers éléments de l'enquête, il était environ 2h du matin quand la maman s'est réveillée brutalement dans un état d'agitation inhabituel. Elle s'est levée, a renversé plusieurs objets et s'en est prise verbalement à son époux. Décontenancé par son attitude irrationnelle, il aurait tenté de la maîtriser. En vain. Une forte dispute aurait alors éclaté. Il aurait voulu ensuite appeler des secours. Mais elle aurait arraché le téléphone.

Se sentant démuni, il aurait alors décidé de quitter la maison pour demander de l'aide à ses parents, résidant à moins d'un kilomètre de chez lui. Il a laissé son épouse seule avec les enfants durant quarante minutes, pensant qu'elle allait se calmer. C'est là que tout a basculé.
Selon le procureur Bertrand Leclerc, la jeune femme aurait, dans un premier temps, sommé Ronan, le fils aîné de 11ans, de quitter les lieux. Avant d'aller sonner chez plusieurs voisins, le garçon, "miraculeusement épargné", aurait vu, par la fenêtre, sa maman brandir un couteau et menacer son frère Brendan, âgé de 9 ans. Quelques minutes plus tard, en sang, le petit garçon aurait réussi à s'extirper de la maison avant de s'écrouler, à dix mètres du domicile. C'est à ce moment que les pompiers, les forces de l'ordre et le père, très choqué, sont arrivés.

La mère maîtrisée par les gendarmes


Sur place, pas moins de quarante gendarmes ont été mobilisés. Très vite, ils ont découvert une femme surexcitée, barricadée dans la maison, avec un petit corps gisant à ses pieds. Les secours, rentrés par le garage après avoir brisé plusieurs fenêtres, n'ont pu que constater le décès de Maëlan, 7ans, poignardé à douze reprises.

Nez à nez avec la maman, dans un état second, qui refusait d'obéir à leurs injonctions, les gendarmes ont dû utiliser un pistolet à impulsion électrique pour l'interpeller. Sur réquisition du procureur, elle a été hospitalisée d'office. Des prélèvements sanguins ont été effectués afin de déterminer si elle était sous l'empire de médicaments ou d'une quelconque substance. "On ne lui connaissait pas d'antécédents psychiatriques", a confié le procureur, qui a ordonné des expertises et qui s'interroge sur "les motivations de cette femme". Des investigations vont se poursuivre aujourd'hui.

Une famille discrète


Dans la commune, où le couple et les trois enfants sont arrivés en 2004, personne ne comprend. La famille est décrite comme discrète, sans histoire et bien intégrée. La maman, aide familiale sans emploi depuis cet été, se promenait souvent à pied et échangeait régulièrement quelques paroles avec ses voisins.

Le maire Dominique Cap, qui connaît bien les grands-parents paternels, originaires de Plougastel, avouait, hier, être stupéfait et profondément affecté. Dès lundi, une cellule psychologique sera mise en place au sein du groupe scolaire Saint-Jean - Saint-Pierre, où étaient scolarisées les victimes.

vendredi 11 novembre 2011

Marion Cotillard: l'incompatibilité de ses rôles de mère et de comédienne.

Maman d’un petit Marcel, de sa relation avec Guillaume Canet, Marion Cotillard fera tout pour protéger son enfant, même de la fragilité émotionnelle dans laquelle, la plonge ses personnages.



De cet « Étrange voyage » artistique imposé par son métier, l’actrice en parle dans le dernier numéro de « Madame Figaro ».
« Ce métier permet de plonger dans l’âme humaine et il y a tant de choses à découvrir de soi-même, confie-t-elle dans l’édition de cette semaine de Madame Figaro. Mais certains états demandent une telle immersion que l’on s’éloigne de sa propre nature. Alors, dans ces cas-là, je m’éloigne de mon fils pour qu’il ne soit pas atteint par cet étrange voyage ».
De ses états d’âme, Marion Cotillard assure, qu’elle en parlera plus avec des journalistes, comme ce fût le cas à ses débuts.
« J’étais très jeune et naïve. Je pensais qu’il fallait se livrer, confier des choses de soi, se situer dans le don absolu. Mon entourage me conseillait : ”Protège-toi” », confie la jeune femme. « Mais je ne comprenais pas ce que ça signifiait. Chaque fois que je rencontrais un journaliste, je faisais une mini-dépression après », reconnaît-elle.
« Je regrettais d’avoir dit trop de choses. Mon métier, c’est d’être actrice et de raconter des histoires. Pas de raconter ma vie. », a-t-elle fait savoir.

Le Lac des Cygnes en France

Le Saint-Pétersbourg Ballet Théâtre propose une unique représentation de l’un des plus prestigieux ballets classiques. 

Amour, pouvoir et jalousie s’affrontent dans cette oeuvre maudite de Tchaïkovski.
Après son interdiction, le chorégraphe Petipa lui redonnera ses lettres de noblesse.

Les prodigieux artistes de cette compagnie emmenés par la célèbre danseuse-étoile Irina Kolesnikova, promettent une extraordinaire performance. Mise en scène, costumes, décors, orchestre et performances techniques et artistiques font de ce spectacle un des plus spectaculaires du répertoire du Saint-Pétersbourg Ballet Théâtre.
 
Piotr Ilitch Tchaïkovski est un compositeur russe de l’ère romantique (1840-1893). Eclectique, son œuvre est d’inspiration plus occidentale, incorpore aussi des mélodies folkloriques nationales. Orchestrateur génial, doté d’un grand sens de la mélodie, Tchaïkovski s’illustra particulièrement par ses symphonies, suites, ballets et concertos. C’est également lui qui donna ses lettres de noblesse au ballet, ajoutant une dimension symphonique à un genre auparavant considéré comme inférieur.
Après l’échec d’un mariage de pure convenance, Tchaïkovski vit une relation épistolaire idéalisée avec sa protectrice Nadedja von Meck qui lui écrira notamment : « Piotr Illyich, avez-vous aimé ? Il me semble que non. Vous aimez trop la musique pour aimer une femme. » Leur relation purement platonique durera plus de quatorze ans.

Ainsi, la partition du Lac des cygnes est une composition révélatrice des aspirations et du tempérament d’un Tchaïkovski poursuivi par le sentiment d’une implacable fatalité : son homosexualité. Comme Siegfried, les amours féminines lui sont interdites. Le prince ne peut avoir de relation charnelle avec le cygne blanc symbole de pureté. Ceci serait contraire aux lois humaines. La création du Lac des cygnes ballet, composé en 1876, est retiré de l’affiche et tombe dans l’oubli. Il a fallu attendre la reprise de la chorégraphie par Petipa en 1895 pour redonner au Lac des cygnes la place qui lui revient. et les représentations qui suivent sont une cruelle humiliation pour le compositeur qui la vit comme une nouvelle malédiction. 

Michel-Victor-Marius-Alphonse Petipa, né à Marseille en 1818 et mort en Crimée en 1910, est un danseur, maître de ballet et chorégraphe français qui passa, de 29 ans à sa mort, toute sa vie en Russie. Bon danseur, il est plutôt reconnu pour ses qualités de chorégraphe. Il signa d’ailleurs une soixantaine de ballets, dont plusieurs feront date dans l’histoire de la danse et entreront dans le répertoire classique des grandes institutions : La Belle au bois dormant (1890), Casse-Noisette (1892) ou Le Lac descygnes (1895) avec Tchaïkovski, Le Corsaire (1858) et Faust (1867) avec Cesare Pugni, et surtout Don Quichotte (1869) et La Bayadère (1877) avec Léon Minkus.

"Réformer la justice Française", Joël Censier.

Joël Censier, dont le fils a été tué en 2009, veut un engagement des politiques.
En août 2009, Jérémy Censier était sauvagement tué par un groupe d'une dizaine d'agresseurs. Mais ils avaient été libérés les uns après les autres. Le seul qui avait été poursuivi pour "violences volontaires ayant entraîné une interruption de travail supérieurs à huit jours" a été relâché après un vice de procédure. Une situation que dénonce Joël Censier, le père de la victime. Il veut faire signer un Pacte pour la justice aux candidats à la présidentielle.

Des "dysfonctionnements de la justice"

Cet ancien policier veut lutter contre ce qu'il appelle les "dysfonctionnements de la justice". Dans une vidéo postée sur Internet, il explique sa démarche : il a rejoint l'Institut pour la justice, "qui œuvre pour réformer la justice française", dit-il. L'Institut a élaboré un Pacte pour la justice qui sera présenté aux candidats à la présidentielle "pour demander des réformes urgentes du système judiciaire".
"Je suis la sonnette d'alarme sur (...) le coté inopérant de l'institution judiciaire", explique Joël Censier sur Europe 1. "Ce n'est pas une question politique. C'est un combat que je mène avec comme intention d'arraisonner les politiques, de quelle "que couleur politique qu'ils soient, pour les sensibiliser sur l'importance qu'un certain nombre de lois soient mises en application dans les plus brefs délais", poursuit-il.
"Le combat de toutes les familles victimes de crimes" :
Le Pacte comporte cinq propositions, comme "l'égalité de droits entre la victime et l'accusé" ou encore "l'application effective des peines prononcées". Depuis lundi, plus de 260.000 internautes l'ont signé.

samedi 23 juillet 2011

Attentat en Norvège

Certains lisaient en silence les journaux, le visage grave, d'autres observaient avec curiosité les militaires mobilisés pour garder les bâtiments publics à Oslo. Les Norvégiens avaient bien du mal à croire, samedi, à ce qui s'était produit la veille dans leur pays d'ordinaire si paisible.
L'homme accusé d'être l'auteur de l'attentat à la bombe puis de la fusillade qui ont fait, au total, 92 morts, est un Norvégien de 32 ans, ancien membre d'un parti populiste et xénophobe, qui écrit sur des blogs, se définit comme chrétien et s'en prend, sur internet, au multiculturalisme et à l'islam.
Selon l'un de ses amis, cité samedi par le quotidien Verdens Gang, le suspect, Anders Behring Breivik, a rejoint la mouvance d'extrême droite alors qu'il approchait des trente ans.
Membre d'un club de tir, franc-maçon, il a été membre, de 2004 à 2006, du Parti du Progrès, important parti d'opposition
qui milite pour un net serrage de vis en matière d'immigration.
Les Norvégiens se demandent comment le suspect a pu commettre seul les attaques de la veille, et tuer, selon le dernier bilan communiqué samedi après-midi, 85 personnes sur la petite île d'Utoya, au nord-ouest d'Oslo, où les jeunesses du Parti travailliste tenaient une réunion.
La police s'employait à vérifier des informations selon lesquelles Breivik aurait eu un complice. "Nous avons eu vent du même témoignage d'après lequel il y avait un deuxième agresseur", déclarait un inspecteur de police, Einar Aas, au journal Verdens Gang.
La police n'a dit disposer d'aucun "élément concret" prouvant l'existence d'un complice, scénario qu'elle n'exclut pas cependant.
UN "CHOC DOUBLE"
Une dizaine d'agents de police se tenaient samedi au pied de l'immeuble de brique rouge où est domicilié le suspect, dans l'ouest d'Oslo.
"C'est absurde. Je n'arrive pas à y croire. La Norvège est -ou plutôt était- le pays le plus pacifique et le plus paisible au monde", déclarait Beate Karlsen, une femme de 39 ans, devant un barrage routier de la police, d'où elle cherchait à apercevoir le lieu de l'attentat à la bombe de la veille, au coeur du quartier des ministères.
"Peut-être que la Norvège n'est plus aussi innocente et sûre que nous le pensions", ajoutait-elle.
Marit Saxeide, une Norvégienne de 68 ans qui dirige une agence de location de DVD dans un quartier où vivent nombre d'immigrants non européens, s'est déclarée soulagée d'apprendre que le suspect n'était pas musulman.
"C'aurait été l'enfer ici si ça avait été le cas", a-t-elle dit à Reuters. "Il est incompréhensible de voir qu'un homme qui a l'air d'avoir fait des études puisse commettre une chose pareille. J'ai des pensées pour sa mère. Ce doit être horrible pour elle", continuait-elle.
"C'est un choc double. Quatre-vingt-dix-neuf pour cent des Norvégiens ont cru sur le coup que c'était un attentat islamiste. Lorsqu'il s'est avéré que ce n'était pas le cas, nous avons encaissé un deuxième choc", a témoigné le fils de Marit Saxeide, Helge, âgé de 40 ans.

Amy Winehouse morte: l'hypothèse d'une overdose plane ...

La très talentueuse et sulfureuse chanteuse britannique Amy Winehouse a été retrouvée samedi morte à son domicile à Londres, a confirmé samedi sa maison de disques.
Elle avait 27 ans et connaissait depuis le début de sa courte carrière de gros problèmes de drogues et d'alcool.
"Nous sommes très attristés par la perte soudaine d'une musicienne, d'une artiste et d'une interprète aussi douée", a déclaré Universal dans un communiqué. "Nos pensées vont à la famille d'Amy, à ses amis et à ses admirateurs dans ces circonstances pénibles".
La police a annoncé avoir retrouvé le corps d'une jeune femme de 27 ans dans une maison de Camden Square, dans le nord de Londres, après avoir été appelée par le service d'ambulances vers 15h00 GMT.
La police a qualifié le décès "d'inexpliqué", mais la chanteuse connue pour sa coupe de cheveux exubérante a vu sa courte carrière perturbée par de nombreux problèmes de dépendance, notamment à l'alcool.
D'après des sources policières citées par la chaîne de télévision Sky News, qui a donné la première l'information, sa mort serait due à une overdose.
La police a bouclé les abords de la maison de la chanteuse où des dizaines de badauds ont commencé à affluer en compagnie d'admirateurs et de nombreux journalistes, cameramen et photographes.
Elle avait annulé au mois de juin l'ensemble de sa tournée européenne après un concert désastreux à Belgrade, où elle s'était montrée incapable de chanter ses propres textes. Fin mai, elle avait terminé une cure de désintoxication.
Révélée en 2006 par la chanson "Rehab", la chanteuse avait obtenu en 2008 quatre Grammys Awards, la plus prestigieuse récompense musicale américaine, dont celui de la meilleure nouvelle artiste et du meilleur album.
Mais elle n'avait pas pu assister à la cérémonie à Los Angeles en raison d'ennuis judiciaires.
Les hommages à la défunte n'ont pas tardé à affluer.
Dans un tweet, Sarah Brown, épouse de l'ancien Premier ministre travailliste Gordon Brown, écrit notamment: "Nouvelle infiniment triste à propos d'Amy Winehouse - beaucoup de talent, une voix extraordinaire et une mort tragique. Toutes mes condoléances à sa famille".

vendredi 24 juin 2011

Xavier Dupont de Ligonnès: une enième lettre découverte.

C'est une nouvelle lettre écrite par Xavier Dupont de Ligonnès et destinée à son beau-frère, que "Paris-Match" a révélé jeudi.
Le courrier est daté du 8 avril dernier. Le père de famille explique à son beau-frère comment toucher les allocations chômage à sa place.Dans un précédent courrier, Xavier Dupont de Ligonnès avait prévenu son beau-frère que lui et sa famille seraient bientôt aux Etats-Unis sous une fausse identité à cause d'une affaire d'espionnage. Il aurait donc trouvé par cette fraude, un moyen de rembourser son beau-frère.
Dans sa lettre, Xavier Dupont de Ligonnès explique : "Je suis inscrit à Pôle emploi depuis le 1er mars et toucherai environ 2.000 € le 4 de chaque mois, A CONDITION D'AVOIR ACTUALISEE MA SITUATION SUR INTERNET entre le 1er et le 10 de chaque mois". L'homme le plus recherché de France confie également à son beau-frère les identifiants et les codes qui donnent accès à son compte sur le site internet de Pôle emploi. Il précise : "J'ai droit à 2.000 € par mois pendant presque 3 ans (soit pas loin de 62.000 euros)".
"Une fois que tu auras récupéré ce qu'on te doit (13.000 euros je crois), verse le reste à Christine (la sœur de Xavier Dupont de Ligonnès, ndlr) et Maman".
L'avocat de la mère et de la sœur du suspect numéro un de la tuerie de Nantes, a indiqué sur "Europe 1" que le beau-frère "a donné ce courrier à la police et n'a pas utilisé le code pour percevoir les allocations à la place de Xavier Dupont de Ligonnès". L'avocat explique également : "On peut le (le courrier, ndlr) voir comme celui d'un homme qui veut escroquer les Assedic ou comme celui d'un homme qui souhaite rembourser ses dettes".

jeudi 23 juin 2011

Marie Jeanne, la joggeuse disparue en Ardèche pourrait avoir été assassinée par un voisin

Les enquêteurs continuent leurs recherches en ArdècheLes recherches continuent jeudi afin de retrouver la trace du ou des personnes responsables de la mort de Marie-Jeanne Meyer, jeune joggeuse de 17 ans retrouvée morte mercredi à Tournon-sur-Rhône (Ardèche). Les enquêteurs s'orienteraient vers un habitant des environs.







Les enquêteurs continuent leurs recherches en Ardèche 
Qui est l'auteur du meurtre de Marie-Jeanne Meyer, la jeune joggeuse retrouvée morte mercredi à Tournon-sur-Rhône ? Son corps, en partie calciné, a été découvert enterré dans un trou soigneusement creusé, camouflé sous des branchages. Selon le procureur de la république qui s'est exprimé mercredi soir à la gendarmerie du petit village de l'Ardèche, le fait que les lunettes, les écouteurs et le MP3 de la joggeuse « aient été retrouvés aux abords du trou signifie qu'il y a eu quelque chose de violent là et pas ailleurs ». Pour lui c'est donc la preuve qu'il s'agit d'un acte « criminel », même s'il n'y a pas pour l'instant « de piste prégnante ». La localisation du trou semble orienté les enquêteurs vers un ou plusieurs habitants des environs, tant il semble improbable qu’un visiteur occasionnel puisse connaître l’endroit. 


"Un carburant puissant " 

« Le trou peut avoir été creusé quelques jours ou quelques semaines avant », a détaillé le procureur.  C'est une sorte de rectangle, assez net, géométrique, profond de quelques dizaines de centimètres, a précisé un responsable de la gendarmerie. Le procureur a détaillé l'opération nécessaire pour brûler un corps : « Il faut un carburant suffisamment puissant dans sa capacité de brûlage et alimenté durant un certain temps (…). »
Les enquêteurs avaient évoqué dans un premier temps l'hypothèse qu'il s'agisse d'une fosse utilisée par les chasseurs pour enterrer les viscères de leurs prises, une possibilité balayée mercredi par Francis Charles, président de l'Association communale de chasse agréée (Acca), pour qui il ne s'agit « pas d'une pratique courante » de chasse.

Du porte à porte pour rassurer les villageois  

Environ 150 gendarmes restent mobilisés ce jeudi pour sécuriser et ratisser le site à la recherche de nouveaux indices. Les enquêteurs envisagent toutes les hypothèses. Ils s'activent actuellement à faire du porte à porte à Tournon. Une démarche qui sert autant à rechercher des témoignages qu'à rassurer les riverains. L'adolescente était partie faire un jogging samedi, elle était portée disparue depuis.

Fraude au Bac S: Recours au conseil d'état et Bac S donné à 9/20...

Une lycéenne a décidé de déposer un recours en Conseil d'Etat en vu de faire annuler l'épreuve de mathématique du bac scientifique, dont une question a fuité la veille de l'épreuve sur Internet.



L'affaire de la fuite du sujet de mathématiques du bac S, que Numerama révélait mardi soir, est loin d'être enterrée. En réaction, le ministre de l'éducation nationale Luc Chatel a tenté d'éteindre l'incendie mercredi matin, en annonçant que l'épreuve ne sera pas annulée, contrairement à ce que nous avions estimé être la conséquence la plus logique. Plutôt que d'obliger les candidats à repasser l'examen, le ministre a décidé d'ignorer la question qui a fuité, et de ne pas la noter. Ce qui est une solution évidemment contestable, pour plusieurs raisons.
Tout d'abord parce qu'avec cette décision, Luc Chatel feint d'ignorer que si le sujet a pu fuiter en partie sur Internet, c'est le signe qu'il a pu aussi fuiter dans sa totalité hors ligne. Dès mardi soir, un internaute se présentant comme le fameux Chaldeen affirmait sur un salon IRC que "vous pouvez être sûr qu'au moins une classe de Terminale S entière possédait l'intégralité du sujet".
Par ailleurs, le fait de retirer la question de probabilités de l'examen de mathématiques déplaît fortement aux candidats qui ont réussi cette question notée sur 4 points, réputée facile, et moins brillé sur leur reste. Leurs chances d'avoir la moyenne se réduit.
De plus, ceux qui ont bénéficié de la fuite ont pu consacrer tout leur temps aux autres questions, puisqu'ils connaissaient les réponses de la question de probabilité, alors que les candidats qui ont travaillé sur l'ensemble de l'examen ont perdu du temps sur celle-ci. Ce qui remet en cause l'équité entre les candidats.
Dès lors, il n'est pas surprenant de voir qu'un premier recours administratif est déjà déposé en procédure d'urgence devant le Conseil d'Etat, dans l'objectif de faire annuler l'épreuve. "La note de mathématiques en section S est affectée d'un coefficient 7 ou 9: quatre points gagnés peuvent changer la donne pour l'obtention du baccalauréat ou la mention", explique Me David Dokhan, l'avocat de la lycéenne qui exerce le recours.
Les fraudes ont probablement toujours existé, mais elles étaient jusqu'à présent réservées à un petit cercle d'initiés, très localisé. Or désormais avec Internet, les fuites peuvent bénéficier à des milliers voire des centaines de milliers de candidats. C'est donc peut-être tout le principe du bac qu'il faut revoir. "On voit bien que notre système est en crise, il l’était depuis longtemps, mais il est rattrapé par les nouvelles technologies", analyse le secrétaire général du syndicat des personnels de direction de l’éducation nationale, dont les propos sur France Inter sont rapportés par Libération. "Ce qui est en cause aujourd’hui, ce sont les modalités de passation des épreuves et l’organisation même de notre examen, qui n’est manifestement plus du tout adéquat".
A défaut, il est presque certain que de nouvelles fuites auront lieu, l'année prochaine ou l'année suivante. La sécurité et la confidentialité absolues n'existent pas.
"Ca va peut-être étonner. Mais (si j'ai fais ça) c'était tout simplement pour faire chier le monde car je trouve que le bac est une immense comédie", justifiait mardi soir celui qui se présente comme Chaldeen.

jeudi 16 juin 2011

Japon/ Fukushima: 200 retraités de plus de 60 ans se sacrifient pour réparer la centrale.


Des ingénieurs japonais à la retraite veulent reprendre du service pour aider leur pays à surmonter la pire crise nucléaire depuis 25 ans, en prenant la place de collègues plus jeunes lors de missions délicates au sein de la centrale de Fukushima.
Plus de 160 ingénieurs âgés d'au moins 60 ans se sont portés volontaires pour participer au "Corps des vétérans qualifiés", afin de réparer les systèmes de refroidissement des réacteurs de la centrale Fukushima Daiichi (n°1), sérieusement endommagée depuis le séisme et le tsunami du 11 mars.
"Nous ne devons pas laisser ce travail aux seules mains de jeunes ingénieurs", déclare Yasuteru Yamada, à l'origine de cette initiative.
L'idée lui est venue après avoir entendu que de jeunes travailleurs sous-traitants, dont des ouvriers non qualifiés, avaient été envoyés sur les lieux pour tenter de réparer les dégâts.
"Les jeunes gens, notamment ceux qui ont des enfants, ne devraient pas être exposés aux radiations", estime M. Yamada, 72 ans, un ancien ingénieur qui travaillait à la construction d'usines chez Sumitomo Metal Industries.
Il propose au gouvernement d'autoriser un groupe indépendant d'ingénieurs qualifiés de plus de 60 ans à se rendre sur le terrain pour réparer les systèmes de refroidissement.
Actuellement, plus de mille personnes, dont des sous-traitants, travaillent sur le site de la centrale, où des niveaux élevés de radiation ont été détectés à plusieurs reprises depuis l'accident du 11 mars.
La compagnie d'électricité Tepco, opérateur de Fukushima Daiichi, s'est donné jusqu'à janvier pour parvenir à maintenir durablement sous 100 degrés celsius la température des réacteurs. Mais des experts estiment qu'il faudra dix ans pour démanteler la centrale, située à 220 km au nord-est de Tokyo.
Yasuteru Yamada réfute la comparaison avec les escadrons de kamikazes qui acceptaient d'aller s'écraser contre les navires de guerre américains pendant la Deuxième guerre mondiale.
"Tout le monde a peur de la mort. Moi aussi", déclare à l'AFP l'ingénieur. Les équipes devront travailler selon de strictes consignes de sécurité et avec l'aval du gouvernement, ajoute-t-il.
Masahiro Ueda, 69 ans, ancien employé d'une centrale nucléaire, s'est lui aussi porté volontaire. "On ne peut pas travailler sérieusement dans une centrale nucléaire sans une certaine expérience", déclare ce spécialiste des systèmes de refoidissement, qui a 40 ans de carrière.
"Je suis vieux et je me fiche de savoir quand je vais mourir", ajoute l'homme, qui veut consacrer ses dernières années aux réparations des réacteurs.
L'équipe travaillerait en collaboration avec Tepco, précise M. Yamada. Il souhaite entamer les discussions le plus rapidement possible.
Tepco n'a pas souhaité commenter cette initiative, qui a reçu le soutien de plusieurs députés.
"Nous réfléchissons à une loi permettant la mise en oeuvre de ce projet", a déclaré Hiroe Makiyama, député et membre du Parti démocrate du Japon (centre-gauche, au pouvoir).
Le gouvernement a été plus mesuré.
"Nous leur en sommes reconnaissants et saluons leur action", a déclaré, selon la presse locale, Goshi Hosono, le conseiller spécial du Premier ministre chargé de la crise. "Mais nous avons pour principe de nous conformer aux procédures qui ne réclament pas de tels +groupes suicide+", a-t-il ajouté.
Beaucoup de tâches à la centrale de Fukushima ne demandent pas une expertise nucléaire particulière, souligne Naoyuki Takaki, professeur d'ingéniérie nucléaire à l'université Tokai à Kanawaga.
"Mais puisque les expositions aux radiations par personne sont strictement limitées, un grand nombre de travailleurs devront être appelés car l'opération va prendre beaucoup de temps", a-t-il ajouté.

Nouveau rebondissement dans l'affaire Xavier Dupont de Ligonnès: un message vocal enregistré le soir même des assassinats.

Xavier Dupont de Ligonnès est introuvable depuis le 15 avril, date où sa trace a été perdue à Roquebrune-sur-Argens (Var). Mais sa voix légère et enjouée, elle, résonne cruellement sur les ondes, ce jeudi. La radio RTL a en effet diffusé le message vocal que le fugitif a laissé sur le répondeur de sa sœur, Christine, le dimanche 3 avril à 22h37, nuit présumée des meurtres de sa femme et de ses quatre enfants. Un message que cette dernière a souhaité partager pour justifier ses doutes quant à la culpabilité de son frère. Le ton joyeux et détaché de Xavier Dupont de Ligonnès est en effet saisissant. Il raconte sa soirée passée en famille, au cinéma et au restaurant. « On était au cinoche en famille, et au restaurant ensuite dimanche soir, et on rentre juste - donc... bah... je t'ai envoyé un petit truc pour te demander si c'était trop tard pour le téléphone et puis là, je vois que tu es sur ton répondeur. » Il explique ensuite qu’il va coucher les enfants, dire bonsoir à tout le monde et demande à sa soeur de le rappeler.

« Je l'ai trouvé tout à fait normal »

Christine Dupont de Ligonnès en est convaincue : ce message n'a pas pu être laissé par un homme sur le point de supprimer sa famille. Elle n'a pris connaissance du message que le lendemain, jour où elle a rappelé son frère et lui a parlé pour la dernière fois. Selon elle, comme sur le message, il ne semblait pas dans un état inhabituel. « Je l'ai trouvé tout à fait normal (...). Même, s’il plaisantait (...). C'était tout à fait le frère que j'avais connu », confiait-elle le 3 mai dernier au micro de RTL.

Une centaine de signalements

Xavier Dupont de Ligonnès a disparu le 15 avril dernier. Si les enquêteurs n’ont aucune trace formelle du fugitif depuis ce jour, une centaine de signalement ont toutefois été faits partout en France. Le dernier remonte au début de la semaine, à Versailles. L’homme aurait été vu à deux reprises le même jour par deux témoins. Si ces derniers témoignages sont jugés comme « crédibles » par les enquêteurs, ils doivent toutefois « être vérifiés », a indiqué un haut fonctionnaire au Parisien.

Ecouter le message intégral:  http://www.rtl.fr/actualites/article/le-message-vocal-de-dupont-de-ligonnes-a-sa-soeur-7694255290

lundi 13 juin 2011

Fillette disparue à Bourg en Bresse: Maëlle, a été violée.

La procureure de la République de Bourg-en-Bresse (Ain) vient d'indiquer que la fillette de cinq ans enlevée dimanche vers 13 heures dans son village de Niévroz puis séquestrée quelques heures «avait été agressée sexuellement et violée».
La magistrate a indiqué que le kidnappeur présumé, placé en garde à vue dimanche soir après une course poursuite d'une demi-heure avec les gendarmes, n'a rien révélé. Marie-Christine Tarrare a indiqué que le suspect, âgé de 39 ans et originaire de l'Isère, avait été condamné en novembre 2009 par le tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse pour «détention et diffusion d'images à caractère pédo-pornographique» à six ans de suivi socio-judiciaire avec injonction de soins. En cas de non respect de ces obligations, le prévenu encourait un an de prison ferme.

Par ailleurs, toujours d'après Marie-Christine Tarrare, depuis le 9 juin, il était sous le coup d'un mandat d'amener pris par un juge d'application pour ne pas avoir répondu aux exigences de son suivi judiciaire. Ce mandat avait été émis pour le 14 juin. En fait, le suspect n'aurait pas répondu à «au moins» une convocation du médecin coordinateur, une mesure prévue dans le cadre de sa condamnation de 2009. Il sera déféré demain mardi pour des faits «d'enlèvement et de séquestration» et pour «agression sexuelle et viol sur mineure de 15 ans».


«La seule chose intelligente qu'il ait faite : ramener la petite en vie»


«La seule chose intelligente que le suspect ait faite hier (dimanche) est de ramener la fillette en vie», a conclu la procureure. Après son enlèvement peu après 13 heures devant son domicile de Niévroz, la victime avait été emmené dans un lieu pour le moment inconnu. Les parents découvrant le vélo et une seule tongue de leur enfant avaient aussitôt donné l'alerte. Un gros dispositif piloté par les gendarmes (hélicoptère, militaires, chiens) avait alors traqué le suspect en vain.


Peu de temps avant de déclencher l'alerte enlèvement, une procédure d'alerte des médias, les gendarmes avaient été prévenus par un témoin de l'abandon par un automobiliste sur le bord d'une route d'une petite fille. Le dispositif de recherche était alors immédiatement orienté pour retrouver le fuyard, qui après avoir forcé deux barrages, était finalement interpellé.


jeudi 9 juin 2011

Anne Sinclair, l'épouse de DSK est rentré précipitamment a Paris cette nuit

Anne Sinclair
Selon des sources proches, Anne Sinclair a quitté la prison dorée de TriBeCa pour revenir en France.

Elle avait rapidement rejoint son mari, Dominique Strauss-Kahn, après son inculpation pour tentative de viol sur une femme de chambre du Sofitel, Nafissatou Diallo. Selon nos informations, Anne Sinclair a été aperçue au petit matin à l’aéroport de Charles de Gaulle, rentrant de New York, où son homme est toujours assigné à résidence dans une luxueuse maison du quartier bobochic TriBeCa.
Arrivée le 16 mai dernier dans la Grosse Pomme, Anne Sinclair n’a pas quitté Dominique Strauss-Kahn d’une semelle et a mis toute son énergie à le soutenir dans le combat judiciaire qu’il est en train de livrer pour éviter de passer 70 années derrière les barreaux. Elle a entre autre avancé les 6 millions de dollars nécessaires à sa libération conditionnelle de la prison de Rickers Islands.
Que vient faire l’ex-future première dame à Paris sans bagages et l'air pressé ?

lundi 6 juin 2011

Affaire DSK: procès en direct (II)

Arrivée de DSK toujours accompagné de son épouse, Anne Sinclair
C'est le grand jour pour DSK. L'ancien directeur général du Fonds monétaire international, accusé de tentative de viol le mois dernier sur une employée d'hôtel à Manhattan, s'apprête à plaider non coupable ce lundi devant un tribunal de New York.
Dominique Strauss-Kahn, 62 ans, est inculpé d'agression sexuelle, de tentative de viol et de séquestration, et risque jusqu'à vingt-cinq ans de prison s'il est reconnu coupable. Dans une lettre adressée aux fonctionnaires du FMI le 22 mai, huit jours après son arrestation, DSK se disait confiant, même si l'accusation affirme que la plaignante a fait un «récit ferme et convaincant» de l'agression dont elle se dit victime.
Après avoir passé quatre jours à la prison new-yorkaise de Rikers Island, DSK a obtenu le 19 mai sa libération sous caution et a été placé en résidence surveillée dans un appartement de Broadway Avenue. Le 25 mai, il s'est installé dans une maison de ville du quartier de Tribeca, à Manhattan, dont le loyer est estimé à 50.000 dollars par mois.


15h29: Prochain rendez-vous devant la justice le 18 juillet pour Dominique Strauss-Kahn, rapporte des journalistes sur Twitter
15h23: Dominique Strauss-Kahn est dans la salle d'audience, il vient de plaider «non coupable»
Le juge, Michael Obus, est arrivé. L'ex-directeur du FMI s'est levé, a déclaré «not guilty» («non coupable») avant de se rassoir, rapporte le correspondant d'Europe 1 sur Twitter.
15h20: Les deux avocats de DSK ont salué les deux procureurs, rapporte le journaliste François Dufour sur Twitter
15h19: A l'extérieur du tribunal, des femmes de chambre attendaient DSK de pied ferme
15h17: Anne Sinclair s'est installée au sein de la salle. L'audience ne devrait pas tarder à commencer.
15h08: Benjamin Brafman, le deuxième avocat de Dominique Strauss-Kahn, est également présent. L'équipe des procureurs est prête.
15h06: Il y aurait une centaine de journalistes dans la salle d'audience, «téléphones portables sur vibreur et sur les genoux», selon France Info
15h01: Les consignes de la police de New York aux journalistes dans la salle d'audience
«Les portables sur vos genoux, rien en l'air, pas de photos», rapporte le correspondant d'Europe 1 aux Etats-Unis sur son compte Twitter. Cependant, une caméra «officielle» va filmer l'audience.
14h59: William Taylor, l'un des deux avocats de Dominique Strauss-Kahn, a été aperçu au tribunal par des journalistes.
14h53: A l'intérieur de la salle d'audience, les téléphones doivent être éteints. Pas les ordinateurs.
14h50: La presse américaine est prioritaire pour pénétrer au sein de la salle d'audience, selon France Info
14h45: Dominique Strauss-Kahn est entré dans la salle d'audience en compagnie d'Anne Sinclair, selon I-Télé.
Ils y sont entrés via une porte dérobée.
14h39: A son arrivée, l'ex-directeur du FMI a été reçu sous les protestations de plusieurs dizaines de femmes de chambre
Elles ont crié «Shame on you» («Honte sur vous»).
14h37: Dominique Strauss-Kahn vient d'arriver au tribunal, il est entré à l'intérieur en compagnie d'Anne Sinclair.
14h31: Dominique Strauss-Kahn a quitté son domicile de New York pour rejoindre le tribunal, selon I-Télé
L'ex-directeur du FMI s'est engouffré dans un 4x4 noir aux vitres teintées, en compagnie de sa compagne, Anne Sinclair.
14h27: Bataille de look entre les journalistes au tribunal de New York
Le correspondant du Daily Telegraph à New York raconte sur son compte Twitter que, devant le tribunal, les journalistes anglo-saxons sont habillés «comme un lundi matin», tandis que leurs homologues français sont comme «à l'after-party des Oscars».
14h17: Des femmes de chambre viennent soutenir la victime présumée
La correspondante de Sky News à New York publie sur son compte Twitter une photo de plusieurs femmes de chambre venues soutenir la victime présumée dans l'affaire DSK. Elles seraient une centaine selon Hannah Thomas-Peter.
13h49: Comment l'audience va-t-elle se passer?
Sur son blog
, la correspondante de Radio France à New York, Fabienne Sintes, explique le processus judiciaire à venir. «Une fois donc passé l’épisode de la lecture des chefs d’accusation et la réponse de DSK, c’est déjà quasiment fini.  Le juge prendra acte. Et probablement va-t-il  fixer sinon un calendrier précis, en tout cas une date limite avant laquelle l’accusation devra avoir donné à la défense une  partie du dossier; ainsi que la date à laquelle la liste des témoins devra avoir été rendue. Il peut aussi donner une date théorique de procès», rapporte la journaliste qui estime le temps de l'audience à «10 à 15 minutes».
13h41: L'affaire DSK, une parmi plus d'une centaine à être traitée ce lundi au tribunal de New York
«Environ 150 affaires passent ce lundi à la Cour suprême du county de New York. Presque que des hommes: Carlos, Joe, Travis, Dominique, Watson, Luis...», raconte François Dufour, journaliste et co-fondateur des éditions PlayBac, présent à New York, sur Twitter.
13h39: Le procès devrait se tenir d'ici six mois à un an
C'est ce qu'a affirmé à I-Télé David Bookstaver, porte-parole du tribunal de New York.
13h37: Aucun commentaire au PS
Au point presse de ce lundi matin, le porte-parole du PS, Benoît Hamon, a prévenu tout de suite qu’en ce jour particulier, il ne commenterait pas l’ouverture du procès de DSK. «Nous ne commentons pas un procès en cours», a-t-il expliqué tout en affirmant que le PS avait une pensée pour DSK ainsi que de l’empathie pour la présumée victime.