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mercredi 21 mars 2012

Tuerie de Toulouse: Mohamed Merah, le suspect principal contraint à un ultimatum...

Le principal suspect des tueries qui ont fait sept morts en France est assiégé par les policiers dans un immeuble de Toulouse où il s'est retranché et dit vouloir se rendre, a déclaré mercredi le ministre de l'Intérieur Claude Guéant.
 
Ce Français de 24 ans d'origine algérienne, qui se revendique d'Al Qaïda, a échangé à plusieurs reprises des coups de feu avec la police qui tente de négocier avec lui. Les forces de l'ordre ont trouvé devant son domicile une voiture remplie d'armes, sur ses indications. "Actuellement, l'individu que nous voulons interpeller est retranché dans son appartement", a expliqué Claude Guéant lors d'une conférence de presse. "Les conversations se sont interrompues. Il a dit à plusieurs reprises qu'il souhaitait se rendre et il indiquait même qu'il se rendrait cet après-midi."

L'homme a "à son actif plusieurs actes de délinquance, une petite dizaine, dont certains étaient marqués de violence", a poursuivi le ministre. "Sa radicalisation s'est en revanche plutôt faite au sein d'un groupe d'idéologie salafiste et affermie, semble-t-il, lors de deux voyages qu'il a faits, l'un en Afghanistan, l'autre au Pakistan."

Claude Guéant a précisé que le suspect avait jeté par la fenêtre un colt 45 en échange de moyens de communication fournis par la police pour négocier mais qu'il possédait encore "beaucoup d'armes", dont une kalachnikov et un pistolet uzi.

Sa mère, ses deux soeurs et ses deux frères, dont l'un évoluait également dans la mouvance salafiste selon Claude Guéant, ont été interpellés, a ajouté le ministre, ajoutant que les habitants de l'immeuble cerné avaient été évacués. Selon une source policière, l'homme retranché s'appelle Mohamed Merah et est d'origine algérienne. Deux policiers du Raid, un groupe d'intervention d'élite, ont été blessés et un troisième a vu son casque atteint par une balle, a-t-on appris de même source.


SÉJOURS EN AFGHANISTAN


Nicolas Sarkozy, qui se rendra ce mercredi sur place au chevet des victimes, a appelé mercredi à l'unité nationale. "Le terrorisme ne parviendra pas à fracturer notre communauté nationale", a déclaré le président lors d'une allocution à l'Elysée. "Nous devons être rassemblés. Nous ne devons céder ni à l'amalgame ni à la vengeance."


Une gigantesque chasse à l'homme a été engagée lundi après le meurtre d'un rabbin et de trois enfants dans une école juive de Toulouse. La semaine précédente, trois militaires ont été abattus de sang-froid, selon le même mode opératoire, l'un à Toulouse et deux autres à Montauban.

A chaque fois, l'auteur des coups de feu mortels est arrivé en scooter et a visé ses victimes à la tête.
La mère du suspect a été amenée sur les lieux mais n'a pas souhaité entrer en contact avec son fils.
L'opération a été lancée aux alentours de 3h00 du matin mercredi dans le quartier résidentiel de la Côte Pavée, dans l'est de Toulouse. Le suspect est retranché dans un immeuble de cinq étages des années 1970 qui tranche avec le reste des habitations, des petits pavillons.

La rue Sergent Vigné où se trouve cet immeuble se situe à quelques centaines de mètres à peine du lieu du premier meurtre d'un militaire, le 11 mars dernier, et de l'école juive où quatre personnes ont trouvé la mort lundi dernier. "C'est un quartier calme", a déclaré une voisine, Cathy Fontaine. "Il y a une crèche là, des écoles derrière, c'est vraiment un quartier très cosmopolite en plus."


RISQUE FONDAMENTALISTE SOUS-ESTIMÉ?


Toute la région Sud-Ouest a été placée sous haute surveillance avec le dispositif "Vigipirate écarlate", sans précédent en France. Le procureur de la République de Paris, François Molins, qui dirige l'enquête, a insisté mardi sur la "piste terroriste" au sens du droit français, à savoir la volonté de troubler l'ordre public "par l'intimidation et la terreur.

Selon le magistrat, l'homme agit avec "sang-froid" et son action est "préméditée", comme le montre "le choix de ses cibles", à savoir "l'armée", "l'origine" des victimes pour les militaires ou "leur confession" dans le cas de l'école juive.

Les trois soldats assassinés sont d'origine maghrébine et un quatrième, grièvement blessé, est Antillais, ce qui a alimenté la thèse de tueurs issus de l'extrême droite.

Le recteur de la Grande mosquée de Paris s'est dit abasourdi que l'auteur présumé des tueries se réclame d'une mouvance islamiste intégriste dont il a souligné qu'il pensait qu'elle était "neutralisée dans notre pays". "Ce que je peux dire c'est l'abasourdissement, c'est véritablement la surprise la plus totale que (...) tous ces méfaits inqualifiables qui ont lieu depuis une dizaine de jours soient d'une mouvance intégriste, djihadiste et de type terroriste dont on croyait qu'ils étaient cadrés et neutralisés et en tout cas complètement inoffensifs dans notre pays", a-t-il déclaré sur i>TELE.

La présidente du Front national Marine Le Pen a placé l'affaire sur le terrain politique en réclamant la guerre contre les fondamentalistes et en affirmant que la France payait le prix de son engagement militaire en Afghanistan. "Je crois que le risque fondamentaliste a été sous-estimé dans notre pays, que des groupes politico-religieux se développent face à un certain laxisme", a dit sur i>TELE la candidate du FN à l'élection présidentielle.

lundi 27 février 2012

Une enfant de 7 ans retrouvée pendue dans le Gard.

Une enfant de 7 ans a été retrouvée pendue à son lit superposé dans sa chambre ce lundi matin à Sanilhac-Sagriès dans le Gard. C'est la mère qui a fait la macabre découverte aux environs de 07 heures du matin. Une source proche de l'enquête indique juste qu'hier soir, à la veille de la reprise de l'école, l'enfant avait eu du mal à s'en dormir.
L'enquête a été confiée aux gendarmes de Bagnols-Sur-Sèzes et de Nîmes. Le procureur de la République, Robert Gelli de Nîmes doit également tenir un point presse à 17 heures.

mardi 14 février 2012

Le lycéen poignardé à Bourges est mort

Un lycéen de 17 ans originaire de Bourges est mort mardi soir après avoir reçu un coup de couteau de la part d'un autre élève de son établissement plus tôt dans la journée. Un différend lié à une transaction de vêtements serait à l'origine du drame, selon des amis de la victime. L'une d'entre elle évoque «un bonnet» et de l'argent qui n'a pas été rendu» auprès du Berry Républicain. Selon une source proche de l'enquête, la dette serait de 20 euros. 

L'altercation a eu lieu durant la pause déjeuner sur un parking à une cinquantaine de mètres du lycée Marguerite-de-Navarre. La victime, élève en terminale STG, a été poignardée par un autre élève de 18 ans, scolarisé en terminale scientifique. Le jeune homme a été hospitalisé dans un état critique et a subi une intervention chirurgicale en fin d'après-midi, avant de décéder au bloc opératoire. Une autopsie aura lieu «dans les prochains jours», selon le vice-procureur.

D'après Le Berry Républicain, l'agresseur se serait débarrassé de l'arme près du canal du Berry, qui passe à proximité du lycée, avant de s'enfuir. Un professeur du lycée interrogé par La Nouvelle République explique que le jeune homme a tenté de se cacher dans le lycée. «Quelqu'un a ouvert la porte de la salle de classe sans qu'on puisse le voir. Lorsque la police est arrivée, on a compris qu'il avait essayé de se cacher. Il y avait du sang dans le couloir, et sur la poignée de porte d'une autre salle.»

L'auteur présumé des coups a finalement été interpellé quelques minutes plus tard à la gare de Bourges. Il devrait être présenté à un juge mercredi ou jeudi. Selon le procureur, son casier judiciaire est vide. «C'est un élève sans problème, inconnu des services de police», affirme une source policière.
Les élèves du lycée Marguerite-de-Navarre, établissement bien coté du centre-ville de Bourges, sont sous le choc. «Ils sont plus que traumatisés. Ils sont anéantis», explique un enseignant à la Nouvelle République. «Une véritable chape de plomb s'est abattue sur l'établissement lorsque la mère de la victime est arrivée». Les cours ont été suspendus tout l'après-midi.

jeudi 9 février 2012

Affaire Estelle Mouzin: une valise retrouvée dans un hôtel relance l'enquête.

Le propriétaire du bagage, un militaire de 19 ans, est actuellement recherché...

Neuf ans après la disparition d’Estelle Mouzin, alors âgée de 9 ans, l’affaire pourrait bien être relancée par la découverte d’une mystérieuse valise.
«Une valise contenant des éléments en lien avec l'affaire Estelle Mouzin a été découverte vendredi dans une chambre d'hôtel et remise lundi à la police judiciaire de Besançon», a indiqué le procureur de Besançon Alain Saffar, confirmant une information de RTL, et se refusant à d'autres commentaires. Le propriétaire du bagage est actuellement recherché.

Chambre très désordonnée

La valise contenait des articles de presse liés à la disparition de la fillette, ainsi que des notes manuscrites, «très précises», selon RTL. Elle a été retrouvée avec d'autres affaires, notamment des sex-toys, dans une chambre très désordonnée, a indiqué à l'AFP une source proche de l'enquête.
L’homme qui occupait cette chambre est un militaire de 19 ans, qui a déserté mi-janvier son unité de Valdahon, dans le Doubs. Il a quitté l’hôtel il y a une quinzaine de jours. Cette personne, qui était âgée de 10 ans au moment de la disparition d’Estelle Mouzin, semble être de fait écartée de la liste des suspects. La valise pourrait appartenir à un de ses proches, mais les enquêteurs n’excluent pas que le jeune homme ait pu s’intéresser à l’affaire sans y être lié.
Un nouvel appel à témoin a été diffusé en janvier 2010, avec une photo de la petite fille vieillie par ordinateur. Début janvier 2012, l’avocat de la famille a demandé, sans succès, le dessaisissement du tribunal de Meaux, jugeant que la juridiction «n’est pas en mesure de traiter normalement un dossier aussi grave».

vendredi 27 janvier 2012

Violeur en série de Paris: panique aux commissariats !

«Sa logique nous échappe», confiait-on hier au 36, siège parisien de la police judiciaire. Les enquêteurs avancent à tâtons sur la piste du violeur en série qui sévit actuellement en Ile-de-France. Après un appel à témoin, passé le 13 janvier, les policiers ont reçu des centaines de témoignages signalant sa présence dans la région. Mais le violeur court toujours.

«Les gens croient l'avoir vu»

Les policiers ont extrait un ADN commun à trois viols, commis dans les 14e et 15e arrondissements ainsi qu'à Etampes (Essonne) entre le 23 et le 28 décembre dernier. Le mode opératoire est le même. L'homme, d'origine africaine, suit ses victimes, des jeunes femmes blondes aux yeux clairs, jusque chez elles, tente de leur soutirer de l'argent, puis les viole et leur assène plusieurs coups de couteau si elles se débattent. Il a cette particularité de s'excuser après son crime.


«Beaucoup de gens croient l'avoir vu. Mais lorsqu'on leur montre les photos, ils ne le reconnaissent pas», détaille-t-on à la PJ. L'homme aurait été aperçu ces derniers jours à Aubervilliers, Aulnay-sous-Bois, Drancy ou encore aux Mureaux. Les vérifications n'ont rien donné. «A part des hypothèses, on n'a pas grand-chose», soupire un enquêteur. Pourtant, le suspect possède un signe distinctif de taille: des scarifications de chaque côté des tempes. «Il finira par se faire attraper lors d'un banal contrôle», avance une source policière. En espérant que d'ici là, il ne fasse pas d'autres victimes. 

Toute personne disposant d'informations est invitée à contacter
l'état-major de la Police Judiciaire de Paris, 7j/7 et 24h/24, au
0 800 00 27 08 (numéro vert) 

Sandrine et Franck Lavier condamnés à 18 mois de sursis

Dix-huit mois de prison avec sursis ont été requis jeudi soir à l'encontre de Franck et Sandrine Lavier, deux acquittés du procès d'Outreau, poursuivis devant le tribunal de Boulogne-sur-Mer pour "corruption de mineurs" et "violences habituelles sur mineurs".
Le jugement a été mis en délibéré.
Franck et Sandrine Lavier, 34 et 33 ans, sont poursuivis avec quatre autres adultes pour avoir -lors de soirées très arrosées- mimé des actes sexuels en présence de leurs enfants, ce qui justifie la qualification de "corruption de mineurs".
Devant le tribunal, les époux Lavier ont reconnu avoir eu des gestes déplacés lors de ces soirées, mais ont affirmé ne jamais avoir frappé leurs enfants.
Deux de leurs enfants avaient fugué du domicile familial et affirmé avoir été battus par leurs parents.
A l'audience, le couple a reconnu avoir été parfois "dépassés".

jeudi 26 janvier 2012

Pas-de-Calais: une femme torturée par son mari

Une femme de 40 ans, victime de graves sévices, a été retrouvée inanimée dans le port de Calais. Son mari a été arrêté.

Les marques sur son corps et sur son visage laissent entrevoir le pire. Le 22 janvier, il est précisément 15 h 20 lorsqu'un riverain découvre, dans les toilettes publiques d'un parking du port de Calais, une femme gisant sur le sol. Il contacte immédiatement le commissariat le plus proche. Lorsque les policiers de la brigade de sûreté urbaine du Pas-de-Calais arrivent sur les lieux, ils découvrent avec stupeur l'étendue des dégâts. 

"La jeune femme présente de graves scarifications sur le visage, avec un trou provoqué à l'aide d'un couteau. Et une partie de son cuir chevelu a été scalpée", souligne avec horreur un enquêteur.
Bien que consciente, la victime extrêmement choquée a eu des difficultés à raconter aux enquêteurs ce qui s'était passé, avant de sombrer dans le coma. Elle a été transportée dans un état sérieux au centre hospitalier de Lille ; son pronostic vital est engagé.

Actes de barbarie

Les investigations menées par les forces de l'ordre vont rapidement permettre d'éclaircir le terrible scénario qui s'est joué ce jour-là. La victime, âgée d'une quarantaine d'années, travaillait à la mairie de Lille comme agent d'entretien. En passant en revue la vie de cette femme, les policiers s'aperçoivent qu'elle est en instance de divorce. Ils découvrent aussi qu'"elle a déjà fait l'objet de violences antérieures de la part de son mari". 

Une piste que les enquêteurs vont aussitôt exploiter. Eddie C., 52 ans, le mari de la victime, est donc activement recherché. Interpellé à 21 heures le 22 janvier à proximité de son domicile, il est placé en garde à vue, soupçonné d'être responsable des actes de barbarie qu'a subis sa femme. Déféré ce lundi au parquet de Lille, l'homme a finalement reconnu les faits mercredi, et a été mis en examen, puis écroué.



mardi 24 janvier 2012

Violeur en série de Paris: portrait et recherches

Portrait robot officiel

ATTENTION, le violeur sévit maintenant dans le 93 sur Pierrefite, à St Denis. RECHERCHE par 11 équipes de CRS , la police... 

Homme africain, 1m80, cicatrices au visage, crane rasé, il a tué 2 femmes, violé 10 femmes, 2 à Aulnay-sous-Bois, 2 dans le 91, dont 1 avec 24 coups de couteau, 4 à Paris, 2 à Pierrefite st Denis,  et coursé 1 à Drancy aujourd'hui.

samedi 21 janvier 2012

Emma S, l'appât d'Ilan Halimi remise en liberté

La jeune femme condamnée pour avoir «appâté» Ilan Halimi, un Juif de 23 ans tué en 2006 par Youssouf Fofana après trois semaines de séquestration par le «gang des barbares», est récemment sortie de prison où elle a passé un peu moins de six années, a-t-on appris vendredi auprès de son avocate.

«Elle a été libérée en conditionnelle. Mais on ne peut pas dire qu'elle ait bénéficié d'un régime de faveur. Elle a au contraire eu un régime de défaveur. Jusqu'au bout, le parquet a tout fait pour empêcher sa libération», a déclaré Me Dominique Attias, confirmant une information du Parisien.

Mineure au moment des faits, aujourd'hui âgée de 23 ans, Emma S. avait été condamnée aux assises en première instance et en appel à neuf dans de réclusion. Elle était incarcérée depuis février 2006.
A l'issue du procès en appel à Créteil, l'avocat de la mère d'Ilan Halimi, Me Francis Szpiner, avait estimé que la Cour avait fait preuve d'une «indulgence surprenante» à l'égard de la jeune femme.

Relation amoureuse avec le directeur de la prison

 

Recrutée par Youssouf Fofana alors qu'elle était une lycéenne de 17 ans, Emma S. avait attiré Ilan Halimi dans un guet-apens un soir de janvier 2006, à Sceaux, où le jeune homme avait été enlevé avant d'être retenu dans une cité de Bagneux pour extorquer des fonds à sa famille.

Après trois semaines de séquestration, il avait été tué par le seul Youssouf Fofana, condamné à la perpétuité pour ce crime antisémite qui avait soulevé une importante vague d'émotion en France.
Issue d'un mariage forcé en Iran, Emma S. n'en a pas fini avec la justice. Elle doit prochainement être jugée pour avoir été retrouvée en possession d'une puce électronique au sein de la prison pour femmes de Versailles où elle entretenait une relation amoureuse avec le directeur de l'établissement.
«Vous imaginez qu'avec le nombre de recels qu'il y a en prison tous les jours en France, le nombre de détenus qu'on trouve avec du cannabis, on la poursuive, elle, pour une puce de téléphone? C'est un gag! C'est de l'acharnement», a commenté Me Attias.

Aujourd'hui suspendu de ses fonctions, le directeur de la prison est poursuivi pour «remise illicite d'une somme d'argent et d'objets interdits à une détenue» et «communication illicite à une détenue».

Le violeur en série de Paris repéré à Aubervilliers !

Le violeur en série considéré comme «très dangereux» qui sévit depuis la fin du mois de décembre dernier a été repéré ce vendredi à Aubervilliers, a indiqué à 20 Minutes une source policière. Une personne s'est présentée vers 16h dans un commissariat pour signaler qu'elle avait reconnu l'individu figurant sur l'appel à témoins lancé une semaine plus tôt par la PJ. «Le témoin a donné un signalement très précis», a indiqué la source policière à 20 Minutes. L'affaire est prise très au sérieux puisqu'une équipe de policiers a immédiatement été dépêchée dans le quartier des quatre-chemins, à Aubervilliers.

«Nous ne sommes pas au courant», a regretté de son côté la direction de la police judiciaire de Paris, chargée de l'enquête, qui précise pourtant «prendre toute information très au sérieux et tout vérifier systématiquement». Peu avant 18h, les policiers étaient toujours à la recherche du suspect, «dans les lieux décrits par le témoin», selon nos informations.


Soupçonné d'avoir commis au moins trois viols en moins de cinq jours entre le 23 et le 28 décembre dernier, à Paris et Etampes, l'homme est activement recherché. Il agresserait ses victimes à leur domicile, tentant de leur soutirer de l'argent avant de les violer et de les poignarder si ces dernières tentent de résister. Selon les policiers, «il demande pardon avant de repartir. C'est assez troublant».
Déjà, mercredi, un suspect a été interpellé en région parisienne, selon Le Parisien. Placé en garde à vue, l'homme a cependant été remis en liberté, les analyses ayant révélé que son empreinte génétique ne correspondait pas à celles dont disposent les enquêteurs concernant le violeur.

samedi 12 novembre 2011

Une mère poignarde son fils à Plougastel.

Un terrible drame s'est déroulé, hier, dans un pavillon d'un lotissement de Plougastel. Prise, semble-t-il, d'un coup de folie, une femme, âgée de 36 ans, est soupçonnée d'avoir tué le plus jeune de ses trois fils à coups de couteau et grièvement blessé le cadet.


Dans cette petite cité pavillonnaire, construite en plein bourg il y a huit ans, les riverains étaient, hier matin, sous le choc. À quelques pas de chez eux, une mère de famille aurait poignardé à mort son fils âgé de 7 ans. Son frère cadet a, lui, reçu sept coups de couteau à l'abdomen. Il a été transporté à l'hôpital de la Cavale Blanche, à Brest, où il est resté plusieurs heures au bloc opératoire. Son état était, hier soir encore, jugé critique par les médecins. Ce drame, d'une rare violence, s'est déroulé au rez-de-chaussée de la maison familiale.

Coup de folie


Selon les premiers éléments de l'enquête, il était environ 2h du matin quand la maman s'est réveillée brutalement dans un état d'agitation inhabituel. Elle s'est levée, a renversé plusieurs objets et s'en est prise verbalement à son époux. Décontenancé par son attitude irrationnelle, il aurait tenté de la maîtriser. En vain. Une forte dispute aurait alors éclaté. Il aurait voulu ensuite appeler des secours. Mais elle aurait arraché le téléphone.

Se sentant démuni, il aurait alors décidé de quitter la maison pour demander de l'aide à ses parents, résidant à moins d'un kilomètre de chez lui. Il a laissé son épouse seule avec les enfants durant quarante minutes, pensant qu'elle allait se calmer. C'est là que tout a basculé.
Selon le procureur Bertrand Leclerc, la jeune femme aurait, dans un premier temps, sommé Ronan, le fils aîné de 11ans, de quitter les lieux. Avant d'aller sonner chez plusieurs voisins, le garçon, "miraculeusement épargné", aurait vu, par la fenêtre, sa maman brandir un couteau et menacer son frère Brendan, âgé de 9 ans. Quelques minutes plus tard, en sang, le petit garçon aurait réussi à s'extirper de la maison avant de s'écrouler, à dix mètres du domicile. C'est à ce moment que les pompiers, les forces de l'ordre et le père, très choqué, sont arrivés.

La mère maîtrisée par les gendarmes


Sur place, pas moins de quarante gendarmes ont été mobilisés. Très vite, ils ont découvert une femme surexcitée, barricadée dans la maison, avec un petit corps gisant à ses pieds. Les secours, rentrés par le garage après avoir brisé plusieurs fenêtres, n'ont pu que constater le décès de Maëlan, 7ans, poignardé à douze reprises.

Nez à nez avec la maman, dans un état second, qui refusait d'obéir à leurs injonctions, les gendarmes ont dû utiliser un pistolet à impulsion électrique pour l'interpeller. Sur réquisition du procureur, elle a été hospitalisée d'office. Des prélèvements sanguins ont été effectués afin de déterminer si elle était sous l'empire de médicaments ou d'une quelconque substance. "On ne lui connaissait pas d'antécédents psychiatriques", a confié le procureur, qui a ordonné des expertises et qui s'interroge sur "les motivations de cette femme". Des investigations vont se poursuivre aujourd'hui.

Une famille discrète


Dans la commune, où le couple et les trois enfants sont arrivés en 2004, personne ne comprend. La famille est décrite comme discrète, sans histoire et bien intégrée. La maman, aide familiale sans emploi depuis cet été, se promenait souvent à pied et échangeait régulièrement quelques paroles avec ses voisins.

Le maire Dominique Cap, qui connaît bien les grands-parents paternels, originaires de Plougastel, avouait, hier, être stupéfait et profondément affecté. Dès lundi, une cellule psychologique sera mise en place au sein du groupe scolaire Saint-Jean - Saint-Pierre, où étaient scolarisées les victimes.

vendredi 11 novembre 2011

"Réformer la justice Française", Joël Censier.

Joël Censier, dont le fils a été tué en 2009, veut un engagement des politiques.
En août 2009, Jérémy Censier était sauvagement tué par un groupe d'une dizaine d'agresseurs. Mais ils avaient été libérés les uns après les autres. Le seul qui avait été poursuivi pour "violences volontaires ayant entraîné une interruption de travail supérieurs à huit jours" a été relâché après un vice de procédure. Une situation que dénonce Joël Censier, le père de la victime. Il veut faire signer un Pacte pour la justice aux candidats à la présidentielle.

Des "dysfonctionnements de la justice"

Cet ancien policier veut lutter contre ce qu'il appelle les "dysfonctionnements de la justice". Dans une vidéo postée sur Internet, il explique sa démarche : il a rejoint l'Institut pour la justice, "qui œuvre pour réformer la justice française", dit-il. L'Institut a élaboré un Pacte pour la justice qui sera présenté aux candidats à la présidentielle "pour demander des réformes urgentes du système judiciaire".
"Je suis la sonnette d'alarme sur (...) le coté inopérant de l'institution judiciaire", explique Joël Censier sur Europe 1. "Ce n'est pas une question politique. C'est un combat que je mène avec comme intention d'arraisonner les politiques, de quelle "que couleur politique qu'ils soient, pour les sensibiliser sur l'importance qu'un certain nombre de lois soient mises en application dans les plus brefs délais", poursuit-il.
"Le combat de toutes les familles victimes de crimes" :
Le Pacte comporte cinq propositions, comme "l'égalité de droits entre la victime et l'accusé" ou encore "l'application effective des peines prononcées". Depuis lundi, plus de 260.000 internautes l'ont signé.

vendredi 24 juin 2011

Xavier Dupont de Ligonnès: une enième lettre découverte.

C'est une nouvelle lettre écrite par Xavier Dupont de Ligonnès et destinée à son beau-frère, que "Paris-Match" a révélé jeudi.
Le courrier est daté du 8 avril dernier. Le père de famille explique à son beau-frère comment toucher les allocations chômage à sa place.Dans un précédent courrier, Xavier Dupont de Ligonnès avait prévenu son beau-frère que lui et sa famille seraient bientôt aux Etats-Unis sous une fausse identité à cause d'une affaire d'espionnage. Il aurait donc trouvé par cette fraude, un moyen de rembourser son beau-frère.
Dans sa lettre, Xavier Dupont de Ligonnès explique : "Je suis inscrit à Pôle emploi depuis le 1er mars et toucherai environ 2.000 € le 4 de chaque mois, A CONDITION D'AVOIR ACTUALISEE MA SITUATION SUR INTERNET entre le 1er et le 10 de chaque mois". L'homme le plus recherché de France confie également à son beau-frère les identifiants et les codes qui donnent accès à son compte sur le site internet de Pôle emploi. Il précise : "J'ai droit à 2.000 € par mois pendant presque 3 ans (soit pas loin de 62.000 euros)".
"Une fois que tu auras récupéré ce qu'on te doit (13.000 euros je crois), verse le reste à Christine (la sœur de Xavier Dupont de Ligonnès, ndlr) et Maman".
L'avocat de la mère et de la sœur du suspect numéro un de la tuerie de Nantes, a indiqué sur "Europe 1" que le beau-frère "a donné ce courrier à la police et n'a pas utilisé le code pour percevoir les allocations à la place de Xavier Dupont de Ligonnès". L'avocat explique également : "On peut le (le courrier, ndlr) voir comme celui d'un homme qui veut escroquer les Assedic ou comme celui d'un homme qui souhaite rembourser ses dettes".

jeudi 23 juin 2011

Marie Jeanne, la joggeuse disparue en Ardèche pourrait avoir été assassinée par un voisin

Les enquêteurs continuent leurs recherches en ArdècheLes recherches continuent jeudi afin de retrouver la trace du ou des personnes responsables de la mort de Marie-Jeanne Meyer, jeune joggeuse de 17 ans retrouvée morte mercredi à Tournon-sur-Rhône (Ardèche). Les enquêteurs s'orienteraient vers un habitant des environs.







Les enquêteurs continuent leurs recherches en Ardèche 
Qui est l'auteur du meurtre de Marie-Jeanne Meyer, la jeune joggeuse retrouvée morte mercredi à Tournon-sur-Rhône ? Son corps, en partie calciné, a été découvert enterré dans un trou soigneusement creusé, camouflé sous des branchages. Selon le procureur de la république qui s'est exprimé mercredi soir à la gendarmerie du petit village de l'Ardèche, le fait que les lunettes, les écouteurs et le MP3 de la joggeuse « aient été retrouvés aux abords du trou signifie qu'il y a eu quelque chose de violent là et pas ailleurs ». Pour lui c'est donc la preuve qu'il s'agit d'un acte « criminel », même s'il n'y a pas pour l'instant « de piste prégnante ». La localisation du trou semble orienté les enquêteurs vers un ou plusieurs habitants des environs, tant il semble improbable qu’un visiteur occasionnel puisse connaître l’endroit. 


"Un carburant puissant " 

« Le trou peut avoir été creusé quelques jours ou quelques semaines avant », a détaillé le procureur.  C'est une sorte de rectangle, assez net, géométrique, profond de quelques dizaines de centimètres, a précisé un responsable de la gendarmerie. Le procureur a détaillé l'opération nécessaire pour brûler un corps : « Il faut un carburant suffisamment puissant dans sa capacité de brûlage et alimenté durant un certain temps (…). »
Les enquêteurs avaient évoqué dans un premier temps l'hypothèse qu'il s'agisse d'une fosse utilisée par les chasseurs pour enterrer les viscères de leurs prises, une possibilité balayée mercredi par Francis Charles, président de l'Association communale de chasse agréée (Acca), pour qui il ne s'agit « pas d'une pratique courante » de chasse.

Du porte à porte pour rassurer les villageois  

Environ 150 gendarmes restent mobilisés ce jeudi pour sécuriser et ratisser le site à la recherche de nouveaux indices. Les enquêteurs envisagent toutes les hypothèses. Ils s'activent actuellement à faire du porte à porte à Tournon. Une démarche qui sert autant à rechercher des témoignages qu'à rassurer les riverains. L'adolescente était partie faire un jogging samedi, elle était portée disparue depuis.

jeudi 16 juin 2011

Nouveau rebondissement dans l'affaire Xavier Dupont de Ligonnès: un message vocal enregistré le soir même des assassinats.

Xavier Dupont de Ligonnès est introuvable depuis le 15 avril, date où sa trace a été perdue à Roquebrune-sur-Argens (Var). Mais sa voix légère et enjouée, elle, résonne cruellement sur les ondes, ce jeudi. La radio RTL a en effet diffusé le message vocal que le fugitif a laissé sur le répondeur de sa sœur, Christine, le dimanche 3 avril à 22h37, nuit présumée des meurtres de sa femme et de ses quatre enfants. Un message que cette dernière a souhaité partager pour justifier ses doutes quant à la culpabilité de son frère. Le ton joyeux et détaché de Xavier Dupont de Ligonnès est en effet saisissant. Il raconte sa soirée passée en famille, au cinéma et au restaurant. « On était au cinoche en famille, et au restaurant ensuite dimanche soir, et on rentre juste - donc... bah... je t'ai envoyé un petit truc pour te demander si c'était trop tard pour le téléphone et puis là, je vois que tu es sur ton répondeur. » Il explique ensuite qu’il va coucher les enfants, dire bonsoir à tout le monde et demande à sa soeur de le rappeler.

« Je l'ai trouvé tout à fait normal »

Christine Dupont de Ligonnès en est convaincue : ce message n'a pas pu être laissé par un homme sur le point de supprimer sa famille. Elle n'a pris connaissance du message que le lendemain, jour où elle a rappelé son frère et lui a parlé pour la dernière fois. Selon elle, comme sur le message, il ne semblait pas dans un état inhabituel. « Je l'ai trouvé tout à fait normal (...). Même, s’il plaisantait (...). C'était tout à fait le frère que j'avais connu », confiait-elle le 3 mai dernier au micro de RTL.

Une centaine de signalements

Xavier Dupont de Ligonnès a disparu le 15 avril dernier. Si les enquêteurs n’ont aucune trace formelle du fugitif depuis ce jour, une centaine de signalement ont toutefois été faits partout en France. Le dernier remonte au début de la semaine, à Versailles. L’homme aurait été vu à deux reprises le même jour par deux témoins. Si ces derniers témoignages sont jugés comme « crédibles » par les enquêteurs, ils doivent toutefois « être vérifiés », a indiqué un haut fonctionnaire au Parisien.

Ecouter le message intégral:  http://www.rtl.fr/actualites/article/le-message-vocal-de-dupont-de-ligonnes-a-sa-soeur-7694255290

lundi 13 juin 2011

Fillette disparue à Bourg en Bresse: Maëlle, a été violée.

La procureure de la République de Bourg-en-Bresse (Ain) vient d'indiquer que la fillette de cinq ans enlevée dimanche vers 13 heures dans son village de Niévroz puis séquestrée quelques heures «avait été agressée sexuellement et violée».
La magistrate a indiqué que le kidnappeur présumé, placé en garde à vue dimanche soir après une course poursuite d'une demi-heure avec les gendarmes, n'a rien révélé. Marie-Christine Tarrare a indiqué que le suspect, âgé de 39 ans et originaire de l'Isère, avait été condamné en novembre 2009 par le tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse pour «détention et diffusion d'images à caractère pédo-pornographique» à six ans de suivi socio-judiciaire avec injonction de soins. En cas de non respect de ces obligations, le prévenu encourait un an de prison ferme.

Par ailleurs, toujours d'après Marie-Christine Tarrare, depuis le 9 juin, il était sous le coup d'un mandat d'amener pris par un juge d'application pour ne pas avoir répondu aux exigences de son suivi judiciaire. Ce mandat avait été émis pour le 14 juin. En fait, le suspect n'aurait pas répondu à «au moins» une convocation du médecin coordinateur, une mesure prévue dans le cadre de sa condamnation de 2009. Il sera déféré demain mardi pour des faits «d'enlèvement et de séquestration» et pour «agression sexuelle et viol sur mineure de 15 ans».


«La seule chose intelligente qu'il ait faite : ramener la petite en vie»


«La seule chose intelligente que le suspect ait faite hier (dimanche) est de ramener la fillette en vie», a conclu la procureure. Après son enlèvement peu après 13 heures devant son domicile de Niévroz, la victime avait été emmené dans un lieu pour le moment inconnu. Les parents découvrant le vélo et une seule tongue de leur enfant avaient aussitôt donné l'alerte. Un gros dispositif piloté par les gendarmes (hélicoptère, militaires, chiens) avait alors traqué le suspect en vain.


Peu de temps avant de déclencher l'alerte enlèvement, une procédure d'alerte des médias, les gendarmes avaient été prévenus par un témoin de l'abandon par un automobiliste sur le bord d'une route d'une petite fille. Le dispositif de recherche était alors immédiatement orienté pour retrouver le fuyard, qui après avoir forcé deux barrages, était finalement interpellé.


mardi 31 mai 2011

Nouveau rebondissement dans l'affaire Xavier Dupont de Ligonnès: les enfants ont été drogués !

Nouveau rebondissement dans l'affaire du quintuple meurtre de la famille Dupont de Ligonnès, en effet les enfants de la famille ont été drogués avant d'êtres tués.
Le 21 avril dernier après avoir été alertée par des voisins et des proches de la famille, la police découvrait sous la terrasse de la maison familiale à Nantes les corps soigneusement dissimulés des quatre enfants ainsi que celui de la mère de famille. Ils ont été exécutés par une arme de calibre 22Long Rifle. Le père quant à lui fut aperçu après la mort de la famille, le long d'un itinéraire le conduisant vers le Sud de la France. Les enquêteurs ont pu suivre sa piste jusqu'au 15 avril, où il a disparu dans le Var en ne laissant aucune trace.

Un suspect toujours introuvable

Xavier Dupont de Ligonnès est soupçonné d'avoir commis les cinq homicides, un mandat d'arrêt international a été lancé sans pour autant parvenir à le retrouver. D'ailleurs les nombreux témoignages en France n'ont également pas non plus permis de le localiser. 
Après cinq semaines d'investigation très médiatiques, l'enquête semble être au point mort. Où est allé Xavier Dupont de Ligonnès ? C'est cette question à laquelle la police ne peut toujours pas répondre. « Aucun des 500 témoignages spontanés qui ont été vérifiés par la police judiciaire ou sont en train de l'être (...) n'a permis de découvrir une preuve objective de la présence de l'intéressé en quelque lieu que ce soit (en France ou à l'étranger) depuis le 15 avril 2011 » affirme ainsi Xavier Ronsin, le procureur en charge de l'affaire. A cette date, la piste du tueur présumé se perd dans le Var.
Après l'Autriche, c'est les États-Unis qui semblent être écartés comme destination probable de l'habitant de Nantes : « Aucun déplacement de policiers sur commission rogatoire du magistrat instructeur n'est actuellement envisagé vers les Etats-Unis, comme cela a pu être avancé par certains commentateurs de cette enquête », a souligné lundi le procureur. L'Amérique était pourtant une des destinations évoquées dans la lettre envoyée à sa famille. Il y expliquait leur départ soudain à l'étranger, vers les États-Unis (sans toutefois préciser où) dans le cadre d'un programme de « protection de témoins » du gouvernement américain dans le cadre d’une affaire de drogue. L'homme âgé de 50 ans et issue d'une famille très catholique reste néanmoins sous le coup d'un mandat d'arrêt international.
L'enquête a néanmoins dévoilé que Xavier Dupont de Ligonnès a « dormi au cours de la nuit du 10 au 11 avril dans un hôtel de la banlieue de La Rochelle, étape donc de son périple vers le sud-est », indique Xavier Ronsin.

Les enfants drogués avant l'exécution

Xavier Ronsin, le procureur de la République de Nantes vient d'annoncer que le résultat des analyses toxicologiques ont permis de déceler la présence dans le sang des enfants d'un médicament hypnotique. 'Les expertises toxicologiques des victimes ont (...) confirmé dans le sang de quatre d'entre elles la présence de médicament hypnotique'. Il a ajouté que 'cette ingestion a, d'évidence, pu faciliter l'exécution méthodique des quatre enfants.' La mère de famille quant à elle n'a pas été droguée.

samedi 28 mai 2011

Rebondissement au procès Yvan Colonna: la lettre de trop !

Yvan Colonna
Les policiers ont versé au dossier une pièce qui devrait être abondamment commentée: un courrier, peut-être écrit par Yvan Colonna, accusant l'un de ses complices de trahison et le menaçant.
Ce vendredi soir, peu avant la clôture des débats de la journée lors du procès d'Yvan Colonna, accusé de l'assassinat du préfet de Corse, Claude Erignac, le président de la cour d'assise, Hervé Stéphan, a fait verser au dossier une lettre que lui avait fait parvenir dans l'après-midi le directeur central de la police judiciaire, Christian Lothion.
Y étaient annexés quatre feuillets manuscrits, qui, d'après la police, pourraient avoir été rédigés par Yvan Colonna depuis sa cellule. Selon les premiers éléments recueillis dans la soirée, il s'agirait d'un courrier adressé à l'un des membres du commando condamné lors du procès de 2003 et qui a témoigné jeudi, Pierre Alessandri.
L'auteur de ces lignes, qui reste à identifier formellement, s'adresse à un "frère" et l'accuse de trahison, tenant à son égard des propos menaçants. Cette lettre aurait été envoyée de la prison de Fresnes, le 19 décembre 2010.
Yvan Colonna a eu connaissance de cet élément nouveau en fin d'audience, vers 22h30. Il ne l'a pas commenté. Avant son retour en cellule, il s'est entretenu pendant quelques minutes avec ses avocats pour faire le point sur ce coup de théâtre.
Ce rebondissement et le moment auquel il intervient, cinq mois après la date figurant sur l'en-tête de la lettre, seront très discutés à la reprise du procès, lundi matin.

vendredi 27 mai 2011

L'enfant retrouvé pendu à l'école primaire d'Arles est toujours dans le coma

L'école primaire d'Arles où on a retrouvé le garçonnet pendu
L'école primaire d'Arles

Cet élève d'une école primaire d'Arles est toujours dans le coma...



Khoren, 11 ans, est toujours hospitalisé en soins intensifs à Marseille. Dans le coma depuis qu'on l'a retrouvé, jeudi dans la matinée, pendu à un porte-manteau de son école, à Arles. Son pronostic vital est toujours engagé.

Les enquêteurs s'intéressent désormais à la personnalité de l'enfant, décrit comme "turbulent". Une maman, dans Le Parisien: "je connaissais ce garçon, qui est dans la classe de mon fils. C'est un gamin en souffrance, il a perdu son papa il y a un an et il vient de perdre son grand-père, qui s'occupait beaucoup de lui." 


Le parquet explique à Libération que "c'est un enfant comme il en existe beaucoup, qui peuvent par moment être turbulent, par moment connaître des difficultés scolaires, mais rien d'excessif."

Europe 1 précise que le garçonnet avait été reçu par le directeur de l'école car ce dernier sentait bien que l'enfant n'allait pas bien.

Les enquêteurs ont exclu toute intervention d'un tiers dans le geste de l'enfant. Pourtant, d'après RTL, un autre élève, puni, se serait trouvé dans le couloir en même temps. Se seraient-ils monté la tête dans un jeu macabre? Un personnel encadrant était passé quelques minutes plus tôt dans le couloir, et aurait vu Khoren souriant.

Mais d'après certains enfants, la maîtresse aurait crié à l'élève, puni, de "faire le porte-manteau". Une information que ne confirmait pas le parquet.

mardi 17 mai 2011

Alessia et Livia: un nouveau rebondissement dans l'enquête

Les jumelles disparues depuis plus de 100 jours
Une trace biologique aurait été retrouvée dans la voiture de Matthias S., selon les révélations faites mercredi par la chaîne italienne Rai3. D’après les enquêteurs de l’émission «Chi l’ha visto» (perdu de vue, dans sa version française), la police scientifique italienne aurait réussi à isoler une minuscule trace dans la voiture de Matthias S. Cette marque serait de nature biologique. Il pourrait s’agir de sang, de transpiration ou de salive. Des analyses seraient en cours pour en déterminer la nature exacte et pourraient révéler des indices importants sur le sort des jumelles.

Alessia et Livia sont portées disparues depuis dimanche 30 janvier. Leur père Matthias S. s’est lui suicidé le 3 février à Cerignola, dans le sud de l’Italie.