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vendredi 20 janvier 2012

Le retour d'Anne Sinclair

Anne Sinclair et son mari, DSK.
Lundi ce sera le grand retour d'Anne Sinclair. L'épouse de DSK a annoncé hier dans une interview au magazine « Elle » qu'elle prendra dès lundi les commandes de la version française du Huffington Post. Ce journal en ligne américain, lancé en 2005 et acheté en février 2011 par le portail internet AOL affirme attirer 37 millions de lecteurs par mois aux États-Unis. La version française qui sera éditée en association avec le journal « Le Monde » est une première étape dans la conquête du marché européen. Elle sera présentée lundi par la journaliste. Ce nouvel arrivant dans le monde médiatique permet à l'ancienne journaliste de 7 sur 7 de revenir sur le devant de la scène après l'affaire DSK.
Au cours d'un entretien de huit pages, Anne Sinclair assure que tous « les sujets d'information qui se présenteront, quels qu'ils soient », seront traités par le site. « Je crois que je peux encore apporter à ce métier ! » ajoute-t-elle. La journaliste assure que c'est le site américain qui est venu lui proposer ce nouveau poste de directrice éditoriale.



Anne Sinclair est également revenue sur l'affaire qui a secoué sa famille avec la mise en cause de son mari tout en tentant de préserver l'intimité du couple. Ainsi à la question « Que pensez-vous des frasques passées de votre mari ? », elle n'a pas souhaité répondre, rétorquant : « Personne ne sait ce qui se passe dans l'intimité des couples et personne n'a besoin d'en savoir plus ». Fermez le ban ! La réponse a été encore plus sèche lorsque la journaliste du magazine lui demande si elle est encore amoureuse de son mari. « ça-ne-vous-regarde-pas ! » a-t-elle lancé. De manière plus personnelle, Anne Sinclair indique avoir « ressenti une grande violence quand quelques féministes autoproclamées se sont déchaînées contre moi ». « Personne n'a à m'intimer l'ordre de parler », insiste-t-elle alors que les féministes l'accusaient de cautionner une présumée violence de DSK. « S'il y en avait eu
[de la violence] , les procureurs auraient poursuivi. Ils ne l'ont pas fait. »

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